Re: [PRESSE/INTERNET] La DS5 à la une

[Romanistan]

[Romanistan]

[CITRON.]

Il me semblait que les jantes de base était bicolores ? Le gros point négatif de la version de base reste l'absence du toit cockpit. Sinon dans cette version optionnée c'est franchement classe.

[Invité]

http://www.automobile-magazine.fr/essais/citroen/citroen_ds5_hybrid4_so_chic

[S.Design]

Dans L'Auto-Journal du 07/03/2013:

[Fstadou]

à fond pour l'essence

le diesel, c'est pour les tracteurs et les camions !

[Invité]

et les autocars, les bus, tout ce qui pu grave quand on roule derrière.....

[C-vava]

à fond pour l'essence

le diesel, c'est pour les tracteurs et les camions !

et le gasoil pour le voiture

[Fstadou]

il ne faut pas dire ''HDI'' comme dans ta présentation voiture (Voitures: C3I HDI collection, C4II confort HDI90) , mais ''HGI''

[Chris 77]

Moi qui a eu une C2 Essence et que mtn je roule en C3 Diesel; y a pas photo je vais bcp moins a la pompe, je roule bcp ausi

[C-vava]

Comme je l'ai déjà dit, avec l'essence j'en suis resté à la GSX3.
En passant au gasoil, plus de problème de démarrage à froid, de voiture qui cale à froid, de starter , plus de problème d'allumage, de bougies, de vis platinées etc à changer régulièrement.
Bref j'en suis resté là
L'entretien du diésel c'est un vidange et basta.
Je referais bien le pas pour l'essence avec la E3 si elle me botte et en plus avec S&S et éventuellement Hybrid air ( Hybrid électrique me tente moins à cause des batteries hyper polluantes à détruire) ce serait génial;
Les entretiens essence aujourd'hui c'est quoi?
en HDI à part la vidange et un petit coup d’œil par ci par là avant 130 000 km il n'y a pas vraiment d'autres chose.

[Six troncs]

Ouh là C-Vava, il faut te remettre à jour sur les moteurs essence.
Cela fait des années que tu n'as plus de starter (moteurs à injection depuis le début des années 90) le démarrage à froid est même beaucoup plus facile qu'avec un diesel, le carburant ne fige pas au froid comme le mazout.
Dans les pays nordiques, on roule à l'essence. En Russie, on roule à l'alcool, mais là c'est le conducteur, pas le moteur.
Les bougies se changent, oui, mais durent longtemps, les vis platinées ont disparu depuis au moins 20 ans, remplacées par l'injection électronique sur tous les véhicules.
J'ai eu une saxo essence pendant près de 230.000 km, l'entretien moteur s'est limité aux vidanges, changement de bougie (une ou deux fois, et ce n'est pas si coûteux) et un changement de courroie de distribution à l'échéance prévue. A la fin j'ai encore poussé le moteur au pied de la zone rouge sans aucun problème.
Question agrément c'est un autre monde. Plus souple, une plage d'utilisation beaucoup plus large surtout avec un turbo, plus silencieux à régime égal (mais devient plus bruyant à des régimes que le diesel ne peut pas atteindre), et dépourvu de vibrations.

[STEPPE 91]

il n y a pas que cela ,l'avant est plus leger , la conduite est plus souple.
Il faut reconnaitre que maintenant que les essences ont des cylindrees plus faible etbdes turbos, l ecart avec les diesels est plus faible.
Le couple est assez proche.
Le silence et les vibrations sont assez differentes.
En cout d utilisation, a type de conduite egale et cool , l'ecart en conso s est reduit.
Mais des que l on accelere l ecart se creuse.

[C-Benjamin]

Premier essai de la DS5 2014 ! Au menu, suspension corrigée et BlueHDi 180

La Citroën DS5 BlueHDi 180 à l'essai (modèle 2014)

Une DS5 confortable ? C'est possible depuis l'adoption de nouveaux amortisseurs sur tous les modèles. La gamme en profite pour évoluer avec les diesels BlueHDi. Essai de la nouvelle version 180 ch en finition Sport Chic au prix de 41 650 €.

Citroën DS5 2.0 BlueHDi Sport Chic 
Diesel. 180 ch 
Prix : 41 650 € 



Commercialisée depuis 2011, la DS5 représente le haut de gamme de Citroën. Elle se distingue par son style particulier.

Mea culpa chez Citroën. Un peu plus de deux ans après le lancement de la DS5, la marque vient de développer une nouvelle définition des trains roulants de la voiture, avec l’amélioration du confort de roulement en ligne de mire. 

La modification principale porte sur l’installation de nouveaux amortisseurs (sur tous les modèles entrés en production courant novembre 2013) avec un objectif bien précis : diminuer les percussions et le niveau vibratoire. 



La suspension plus confortable ne nuit pas au dynamisme. Direction franche et roulis maîtrisé restent de mise à bord de la DS5 de 2014.

La C5 inégalée

Au volant de la nouvelle version (chaussée en pneus de 18 pouces sur notre modèle d’essai), il ne faut pas longtemps pour mesurer les progrès. L’inconfort ressenti au volant des DS5 n’est plus. 
Le meilleur filtrage de la suspension permet de passer sur les irrégularités de la route avec plus de douceur et donc moins de dérangement pour les passagers.  

Le confort n’atteint pas pour autant le moelleux d’une C5, mais ce n’est de toute façon pas le propos de la DS5, qui veut rester une offre décalée au sein des familiales Citroën. Et puis la DS5 est plus dynamique et, en dépit de plus de douceur, elle conserve une bonne maîtrise des mouvements de caisse. 

Des diesels moins polluants

La futuriste Citroën ne progresse pas uniquement en matière de trains roulants en ce début de 2014. Elle incorpore aussi à sa gamme deux nouveaux diesels, issus de la nouvelle famille des BlueHDi développée par PSA, laquelle intègre notamment un catalyseur SCR capable de traiter 90 % des NOx (oxydes d’azote), un gros polluant du diesel. 

En entrée de  gamme, le 1.6 BlueHDi de 120 ch avec boîte manuelle est proposé à partir de 30 400 € (finition Chic), ce qui en fait une offre idéale pour les réfractaires à la boîte pilotée ETG6 imposée sur le e-Hdi 115 (30 150 € en Chic).




Notre modèle était équipé du nouveau 2.0 BlueHDi de 180 ch, dérivé de la version de 150 ch déjà connue sur le récent  C4 Picasso. Avec cette puissance confortable, la DS5 offre des performances dignes du standing qu’elle revendique pour prix minimum de 37 000 € (finition Be Chic). 

L’agrément est au rendez-vous, notamment grâce à la nouvelle boîte automatique développée par le spécialiste japonais Aisin. Cette transmission à six rapports réagit toujours avec à-propos et s’adapte rapidement au rythme de conduite : elle privilégie les bas régimes en conduite douce et n’hésite pas à tirer sur les rapports à l’enfoncement rapide de l’accélérateur. 

Une mécanique moins discrète



Les rétrogradages sont également bien gérés pour repartir sur un bon rythme après un freinage appuyé. Cette gestion intelligente n’empêche pas de regretter l’absence de palettes au volant, car rien ne vaut la main de l’homme pour anticiper une manœuvre (un dépassement par exemple). 

Comme tout n’est pas parfait, on notera aussi une sonorité moins bien maitrisée que le HDi 163, à cause des hautes pressions d’injection. Il faut composer avec quelques claquements à froid et un bruit un peu plus rude à l’accélération, qui dénote un peu dans l’univers feutré de l’habitacle. 

Avec des émissions de CO2 fixées à 118 g/km (114 avec jantes de 17), la DS5 diesel haut de gamme à boîte automatique se place à bonne distance du malus écologique français.  Sur la route, elle ne consommera pas plus que la version Hybrid4, dont la masse supérieure pénalise le dynamisme. 



Plus de séduction

Voici donc une DS5 bien armée pour séduire une clientèle en recherche d’un véhicule haut de gamme et différenciant. Son gabarit court pour la catégorie (4,53 m), son architecture semi-haute (1,50 m) et son style flamboyant sont à découvrir sous un nouveau jour maintenant qu’elle est confortable. 



Idem pour l’habitacle inspiré de l’aéronautique. Les commandes sont un peu dispersées et la technologie moins poussée qu’à bord du nouveau C4 Picasso (pas de connexion Internet, pas de régulateur de vitesse actif), mais l’ambiance offre un spectacle comme aucune autre voiture. 

Un spectacle que la DS5 met très bien en lumière dans ses finitions hautes (Sport Chic), surtout lorsqu’elles sont habillées du pack Faubourg Addict (à partir de 800 €) comme notre modèle d’essai. Ce pack personnalise le véhicule avec raffinement : teintes spécifiques, coques de rétroviseurs gravées au laser, trame DS sur le toit en verre visible depuis l’habitacle. 



Bilan. La DS5 écoute les critiques et ses clients. Six mois après son lancement, elle avait incorporé une commande d’ouverture du coffre sous le hayon (un aspect pratique écarté par les designers…). Aujourd’hui, ce n’est pas un détail qu’elle corrige, mais un défaut qui a éloigné des clients et déçu des utilisateurs. Goûter au haut de  gamme Citroën se fait maintenant sans réticence. 



On aime 
Le confort, enfin ! 
L'agrément moteur/boîte 
L'ambiance intérieure 
La proposition décalée dans le segment 

On regrette 
L'habitabilité un peu étriquée 
Le diesel moins discret qu'avant 
Moins de technologie que la concurrence 

http://www.largus.fr/actualite-automobile/la-citroen-ds5-bluehdi-180-a-lessai-modele-2014-3564379.html

[BlueLemon]

Un article très juste, qui on l'espère, va contribuer au redressement de l'image dont la DS5 a besoin. Plus encore, à relever le niveau d'exigence de Citroën pour la conception de ses DS. Mais les mauvaises réputations sont plus tenaces que les bonnes. Gageons que la marque se resaisisse commercialement, et en profite pour revoir sa campagne de communication autour de la DS5.

[stephvdm]

Essai dans le nouveau AUTOPLUS.

[tusman]

Essai Citroën DS5 2.0 BlueHDi 180 So Chic par autoplus

http://essais.autoplus.fr/video/1478792/Citroen-DS5-So-Chic-2.0-BlueHdi-180-BVA6/index

[c-dolu]

La DS5 est première de sa catégorie en termes de fiabilité dans l'Automobile Magazine.

[C-Benjamin]

Essai du nouveau BlueHDi 120 par l'Argus !

La Citroën DS5 BlueHDi 120 à l'essai



Moins de 4 l de gazole aux 100 km, c'est aujourd'hui la promesse d'une DS5... non hybride. Son secret ? Un nouveau 1.6 « BlueHDi », qui abaisse les consommations, la pollution, et le premier prix en diesel boîte mécanique de 3500 €

A finition équivalente, le 1.6 BlueHDi 120 est juste 1 350 € moins cher que le 2.0 HDi 163. Mais un niveau d'équipement inférieur (Chic) porte l'écart à 3 500 €.

Il n'y a plus matière à s'étouffer : contraintes environnementales obligent, les routières délaissent leur moteur V6 pour chiper aux compactes leur quatre cylindres de tous les jours. La DS5, fleuron du haut de gamme français depuis la mort de la Citroën C6 et la naissance de la Renault Latitude, accueille donc un petit 1.6 diesel de 120 ch. Après tout, il existe bien une BMW 518d... 

Demie-nouveauté

En réalité, la Citroën DS5 goûtait déjà au 1.6 HDi 115 depuis sa sortie fin 2011. Mais dans une unique version BMP6, antique boîte robotisée aussi paresseuse qu'incongrue dans cette routière chevronnée. 

La DS5 ici photographiée revêt des jantes de 19 pouces. Mais le BlueHDi 120 se limite aux roues de 17 pouces, moins énergivores...

Désormais associé à la boîte mécanique à six rapports, le 1.6 diesel revient dans sa définition la plus moderne, nommée BlueHDi : puissance et couple en hausse (+ 5 ch et 30 Nm), catalyseur filtrant 90 % des NOx (oxydes d'azote, polluant), et respect des normes Euro VI applicables en septembre 2014. 
Les poumons peuvent dire merci et le portefeuille aussi : selon Citroën, la DS5 consomme juste 3,9 l aux 100 km en cycle mixte. Exactement comme la version hybride, facturée 4 400 € plus chère malgré son généreux bonus ! 

Sur parcours autoroutier lors de notre essai, la consommation s'est établie à 6,7 l aux 100 km. Logiquement supérieure aux valeurs normalisées, mais tout de même raisonnable pour une routière de 1 500 kg. 

En finition haute So Chic (34 450 €), le toit cockpit, en partie vitré, est de série

Avec son réservoir de 60 l, la DS5 BlueHDi 120 parcourt donc près de 900 km sans s'arrêter, ce que le conducteur peut accomplir sans souffrances : bruits d'air et de roulement parfaitement étouffés, agréable sentiment de piloter un vaisseau spatial (notamment en finition So Chic avec toit cockpit et affichage tête-haute !), et confort en nets progrès grâce aux nouveaux amortisseurs Sachs et à la « petite » monte pneumatique de 17 pouces (18 et 19'' indisponibles en BlueHDi 120). 

Cette sellerie cuir bracelet est en option à 2 800 €

Cette douce atmosphère n'enveloppe hélas pas les passagers arrière, qui manquent un peu d'espace aux jambes pour ne pas s'y « tortiller » sur longs trajets. Avec juste 468 l de volume dans la malle, les bagages de la famille doivent d’ailleurs penser la même chose. 

Moins d’agrément en ville

La meilleure place demeure donc à l'avant, bien que les parcours extra-autoroutiers ne garantissent pas tout à fait le même agrément. Sur route, il faut parfois jouer du levier de vitesse pour dépasser, les rapports supérieurs longs tempérant la belle valeur de couple (300 Nm, contre 270 Nm pour le HDi 115). En ville, mieux vaut éviter les évolutions sous 1 500 tr/min, où le moteur manque de vigueur et multiplie les vibrations près du régime de ralenti. 

Contrairement aux apparences, la DS5 est 25 cm plus courte qu'une Citroën C5

Un petit côté rugueux renforcé par le niveau sonore en hausse par rapport au HDi 115, et à l'abandon de son alterno-démarreur qui, sur d’autres modèles du groupe, coupe le moteur en douceur sous 20 km/h. 
Le simple démarreur renforcé retenu ici redonne vie au HDi dès que la voiture bouge d'un iota (faux plat au feu rouge, par exemple), et génère alors un petit soubresaut. Cette régression est justifiée par des raisons de coût, déjà grevé par l'onéreuse dépollution des moteurs diesels. Un argument difficile à entendre, à ce niveau de gamme et de prix... 

Le 1.6 120 ch est le second diesel de la famille "BlueHDi" disponible sur la DS5, après le 2.0 180 ch BVA

Bilan de l'essai Citroën DS5 1.6 BlueHDi 120

Un peu rugueux lors des parcours urbains, le BlueHDi 120 donne davantage de satisfaction sur route et autoroute en dépit de ses relances timides. Son tempérament calme et sa belle sobriété invitent à une conduite apaisée, désormais compatible avec le confort en net progrès de la DS5. 

Le réservoir d'AdBlue (servant au catalyseur à NOx) est accessible sous le tapis de coffre. D'une contenance de 17 l, il doit être rempli tous les 20 000 km environ.

http://www.largus.fr/actualite-automobile/la-citroen-ds5-bluehdi-120-a-lessai-3863379.html

[C-vava]

je n ote "confort en net progrès

[Romanistan]

Même en étant dynamique, une Citroën est synonime de confort digne d'un vaisseau spatial ! 
Alors quand je lis que cette DS5 a un "confort en nets progrès", c'est presque jouissif !

[AutoCro]

Même en étant dynamique, une Citroën est synonyme de confort digne d'un vaisseau spatial ! 
Alors quand je lis que cette DS5 a un "confort en nets progrès", c'est presque jouissif !

Ben si c'est un vaisseau spatial, on sent quand même bien les ondes gravitationnelles...  

[C-vava]

faut pas demander les premières!

[C-Benjamin]

Citroën DS5 Hybrid4 Faubourg Addict: le raffinement à la française

L’Hybrid4 Faubourg Addict, une édition spéciale de la Citroën DS5, offre un dynamisme époustouflant et des finitions dignes d’un maroquinier haut de gamme.

Des accélérations grisantes, un sentiment de sécurité complet, un confort qui flirte avec le luxe, la Citroën DS5 Hybrid4 est, déjà à la base, une voiture exceptionnelle. Cette fois, c’est un modèle un peu différent que j’ai eu le plaisir de conduire pendant une semaine, une édition Faubourg Addict.
Pour ce qui est du moteur, du plaisir de conduite et de la configuration, je n’ai pas été dépaysée par rapport à la DS5 Hybrid4 que j’avais déjà eu l’occasion de tester en début d’année. Rien ne change.. ou presque.
La différence entre la Faubourg Addict et le modèle conventionnel est purement esthétique. Cette série limitée, qui habille également la DS3, la DS3 Cabrio et la DS4, se décline en trois teintes, blanc, noir ou, la plus emblématique, une couleur prune très distinguée. Cette teinte particulière appelée Whisper est en fait un noir profond avec des nuances de violet. Mais ce n’est pas tout! Détail digne d’une fashionista, la série Faubourg Addict se chausse de jantes diamantées avec des cabochons accordés à sa carrosserie. L’intérieur, lui, se complète, à la carte et moyennant finances, de cuirs choisis.
Pour parfaire cette tenue de gala, le toit et les rétroviseurs se parent d’un motif fait à partir du monogramme DS, un peu à la manière des sacs à main de grande marque. Cet esprit grande marque, je l’ai aussi ressenti dans l’habitacle. Chaque détail est choisi minutieusement, les finitions sont dignes d’un maroquinier haut de gamme. Paradoxalement, en roulant dans ce véhicule français, je n’arrêtais pas de faire des parallèles avec l’ambiance new-yorkaise de «Breakfast at Tiffany’s», vous savez ce fameux film où Audrey Hepburn couverte de perles et de diamants campe devant la vitrine du célèbre bijoutier.

Vous le pensez bien, le glam-chic n’est pas gratuit, et pour avoir le privilège de la DS5 Hybrid4 Faubourg Addict, il faudra rajouter Fr. 8900.- de plus au modèle de base. Les rêves ont un prix.

Et dans la vraie vie, elle est comment cette voiture?

Le look Faubourg Addict 
Luxe et volupté, cette DS5 Hybrid4 Faubourg Addict est la parfaite ambassadrice du raffinement à la française. En plus des lignes soignées de la DS5 classique, cette édition spéciale se pare d’une robe sombre aux reflets prune, les rétroviseurs chromés sont marqués au laser par le monogramme DS, sigle qu’on retrouve sur le toit également. Chic et élégant!

Le système Hybrid4 
La Citroën DS5 est le premier modèle de la marque à être doté de la technologie Hybrid4, une chaîne de traction full-hybrid qui allie les performances routières du moteur Diesel HDi à l’efficacité de la propulsion électrique. Résultat: des sensations pures, un dynamisme époustouflant, l’efficacité de 200 ch, une fonction boost à l’accélération ainsi que des émissions de CO2 très réduites (88 g/km).

Le toit vitré 
Le toit vitré se divise en trois parties, et ce qui peut sembler être un toit panoramique vu de l’extérieur est en fait coupé par une grande traverse qui intègre quelques commandes, comme celle des stores. L’avantage? On y gagne un petit supplément de luminosité et les passagers assis à l’arrière, le conducteur et le passager avant peuvent choisir d’occulter où non leur fenêtre sur le ciel.

Le tableau de bord 
Les boutons et commandes sont nombreux, presque trop, mais l’ensemble est esthétiquement irréprochable et les fournitures utilisées de premier choix. Poussoirs, boutons, molettes, les fonctions se veulent intuitives, mais leur nombre demande d’apprivoiser le tableau de bord pour ne pas chercher trop longtemps où se trouve quelle fonction et comment l’actionner.

Les modes de conduite 
L’automobiliste a le choix entre quatre modes de conduite, à sélectionner grâce à une molette située vers le levier de vitesses: «Auto» automatique, «Zero Emission Vehicle» pour se mouvoir uniquement sur le moteur électrique, «Sport» pour une conduite hautement dynamique et «quatre roues motrices» qui améliore la sécurité et permet de maîtriser des situations difficiles grâce à une adhérence renforcée.

http://www.migrosmagazine.ch/au-quotidien/voiture/article/citroen-ds5-faubourg-addict-raffinement-a-la-francaise

[Romanistan]

Très bon essai, de la part d'un journaliste "neutre"
En bonus, de belles photos sous lumière naturelle de la couleur Whisper

Essai Citroën DS 5 BlueHDi 180 : menues évolutions sur la plus DS des déesses
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