[Information] Citroën - Par ici les news...
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Mode HS
Une voiture de société n'est pas forcément une commerciale qui selon les textes est un véhicule utilitaire qui ne doit comporter que 2 places sans banquette arrière.
Fin du HS
Une voiture de société n'est pas forcément une commerciale qui selon les textes est un véhicule utilitaire qui ne doit comporter que 2 places sans banquette arrière.
Fin du HS
Tourer 59- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Vous avez remarqué les messages de D sur son profil son pseudo D n'apparaît plus?
Notre informateur préféré c'est volatilisé?
Notre informateur préféré c'est volatilisé?
Tourer 59- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Oui en effet, merci de me l'avoir fait remarquer
Est-il possible de changer de psedo ?
Est-il possible de changer de psedo ?
Le-Flo- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Oui, D est même un habitué des changements de pseudo
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
D comme Disparu de la circulation? Déserteur?
C-VINCE- Apprenti
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Attention au Hors Sujet s'il vous plait, c'est le topic sur l'actualité de la marque Citroën, pas celui sur le topic. Pour parler de cela, merci d'utiliser le topic de la papote en section C-Détente où l'on parle de tout et de rien merci :
https://c-forum.forumpro.fr/c-detente-f58/sujet-officiel-le-topic-de-la-papote-t943-390.htm
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C-Addict- Membre d'honneur
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
oui pardons Barto
Le-Flo- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Quelqu'un aurait-il regarder Turbo ce soir ? C'est ce week end que l'émission est consacré à Citroën, mais je ne peux pas la voir, y'a t'il des infos à prendre, des news ou autres ?
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C-Addict- Membre d'honneur
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
tu pourras la voir sur M6replay.fr
elle est tres interessante!
elle est tres interessante!
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Elle n'est pas encore dispo sur m6replay, le plus rapide est de la regarder demain pour la rediff.
Kékho- Apprenti
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Chapatte était conquis et ne cessait de le répéter... belle promo gratuite pour Citroën. Dommage que nous n'ayons pas eu droit à un scoop. Si... Chapatte laissa tout même sous-entendre que la DS3 pourrait être déclinée en cabriolet. Par contre, toujours rien de sûr concernant la commercialisation de la GT. Mais vu le buzz qu'elle suscitait dans le reportage qui lui était consacré, ce serait un sacrilège de la ranger dans le cimetière des concept-cars.
Reste à espérer que la prochaine C3 ne soit pas qu'une DS3 sans chrome, ni cuir...
Reste à espérer que la prochaine C3 ne soit pas qu'une DS3 sans chrome, ni cuir...
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Bonne nouvelle!
Tourer 59- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
L'action Peugeot bondit 6,8% à 22,8 euros, en tête du palmarès du Cac 40.
Credit Suisse a relevé lundi son objectif de cours sur le titre à 26 euros (contre 18 euros précédemment) tout en réitérant sa recommandaton positive "Surperformance".
A l'occasion de la prise de fonction de Philippe Varin en tant que directeur général du constructeur automobile (il remplace Christian Streiff, débarqué sans ménagement fin mars), le broker fait l'inventaire des options stratégiques qui s'offrent au nouveau dirigeant : réduction des capacités de productions, cessions d'actifs, et alliance avec un autre constructeur (si possible asiatique).
A ce propos, des rumeurs circulent depuis la fin de semaine dernière sur l'éventualité que Fiat se tourne vers PSA pour nouer une alliance après l'échec de l'offre du constructeur italien sur Opel.
Par ailleurs, au vu de l'amélioration des perspectives d'évolution des volumes de vente, Credit Suisse estime désormais que la consommation de cash de PSA Peugeot Citroën devrait s'établir à 1,9 milliard d'euros en 2009, et non à 3 milliards d'euros comme il le pensait auparavant.
Source : (Tradingsat.com) – 01/06/2009
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Le constructeur automobile PSA Peugeot Citroën entame un nouveau chapitre de son histoire avec l'arrivée cette semaine à sa tête de Philippe Varin, qui prend la direction d'un groupe frappé de plein fouet par la crise économique, à l'image du secteur automobile. Philippe Varin , 56 ans, jusque-là pdg du groupe sidérurgique Corus, a été nommé le 29 mars dernier président du directoire à compter du 1er juin (…).
Mercredi, le nouveau patron fera sa première apparition officielle devant l'assemblée générale des actionnaires, après une période d'un mois et demi durant laquelle il a rencontré les équipes, les cadres dirigeants et les représentants du personnel et s'est rendu sur plusieurs sites en France et à l'étranger.
L'assemblée générale devrait être l'occasion pour Philippe Varin de tracer les grandes lignes de ses ambitions pour le groupe, explique-t-on chez PSA.
Le constructeur automobile "doit avoir l'ambition d'être au niveau des meilleurs constructeurs mondiaux", affirme le nouveau pdg dans le rapport d'activité du groupe.
Retrouver une situation financière plus saine
Il estime que le groupe pourra pour cela s'appuyer sur ses "immenses potentiels" technique et technologique, sur "les projets déjà engagés en termes d'organisation" et "les compétences" des équipes. Mais la crise économique "a durement touché le groupe, affectant notamment (sa) trésorerie". Il affirme donc que sa "première priorité" sera d'abord de "retrouver une situation financière plus saine". Dans ce contexte, la mobilisation sur les objectifs de réduction de coûts du plan Cap 2010 devra se poursuivre, souligne-t-il.
Le plan de compétitivité Cap 2010, lancé en 2007, a été accéléré avec la crise, et les objectifs de réduction de coûts ont été avancés d'un an, à fin 2009. (…)
Source : Lepoint.fr – 01/06/2009
Dans ce contexte, quelles solutions s'ouvrent à PSA-Peugeot Citroën pour rebondir ?
L'express.fr (27/05) suggère aux moins deux pistes :
le développement sur le haut de gamme, un créneau sur lequel la marque est peu présente, ou sur le low cost, où Peugeot est complètement absent.
Ces deux perspectives pourraient passer par une (ou plusieurs) alliance(s), l'objectif étant alors de compléter le positionnement de PSA-Peugeot Citroën comme constructeur généraliste.
Si une alliance sous-entendrait de s'accorder avec un partenaire, les difficultés risquent plutôt de se cristalliser en interne. Avec 30% du capital et 45% des droits de vote, les membres de la famille Peugeot, à la tête de la 17ème fortune de France, doivent en effet d'abord s'entendre entre eux pour parler d'une seule voix. (…)
Entre la sévère crise que traverse le secteur automobile et les dissensions familiales des principaux actionnaires de PSA, Philippe Varin entre dans une zone de turbulences. A l'inverse, la recomposition du secteur auto peut lui donner l'occasion de faire étalage ses compétences en prenant les bonnes décisions. Sous l'œil, jamais éloigné, des cousins Peugeot.
Source : Zonebourse.com – 01/06/2009
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
On veut pas de Fiat dans le groupe, je pense d'ailleurs que les Peugeot sont d'accords avec cela. Si jamais Varin souhaite s'allier avec un constructeur nippon, c'est qu'il pense, comme Streiff, que Mitsubishi est la meilleure voie.
Néanmoins, beaucoup d'alliances ont formé des canards boiteux et mis des groupes en péril. Peugeot et Citroën viennent à peine de retrouver l'équilibre en les deux marques, les rendant l'une et l'autre dorénavant "stables" et "égales", alors faire rentrer une autre (qui serait en tout logique "malade") dans la constellation PSA, parait au demeurant assez risqué.
J'espère que Varin et les Peugeot sauront prendre la bonne décision, pas sous le coup de l'émotion actuelle, mais bien une décision rationnelle.
Toyota se mord les doigts aujourd'hui d'avoir voulu être un glouton en termes de ventes, et doit maintenant payer le prix d'une surproduction de 3 millions de véhicules et des gammes assez inadaptées ou canieuses sur certains marchés et segments.
La course aux "6 millions" de véhicules produits comme le brande Sergio de Fiat me parait pas vraiment la marche à suivre.
Néanmoins, beaucoup d'alliances ont formé des canards boiteux et mis des groupes en péril. Peugeot et Citroën viennent à peine de retrouver l'équilibre en les deux marques, les rendant l'une et l'autre dorénavant "stables" et "égales", alors faire rentrer une autre (qui serait en tout logique "malade") dans la constellation PSA, parait au demeurant assez risqué.
J'espère que Varin et les Peugeot sauront prendre la bonne décision, pas sous le coup de l'émotion actuelle, mais bien une décision rationnelle.
Toyota se mord les doigts aujourd'hui d'avoir voulu être un glouton en termes de ventes, et doit maintenant payer le prix d'une surproduction de 3 millions de véhicules et des gammes assez inadaptées ou canieuses sur certains marchés et segments.
La course aux "6 millions" de véhicules produits comme le brande Sergio de Fiat me parait pas vraiment la marche à suivre.
Kékho- Apprenti
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
On l’avait vu au Salon de Shanghai,
On l’avait vu plus récemment dans un autre salon de province,
Le voici maintenant en concession, au milieu de Xsara Picasso et de C-Quatre.
Le journaliste s’étonne du flou artistique quant à la réponse du personnel concernant sa commercialisation : « Citroën n’a pas encore pris sa décision ! »
On peut imaginer que Citroën ne commettra pas à nouveau son énorme erreur concernant la non commercialisation de la C1, depuis amplement clonée, mais pas par TPCA.
Source photos : CHE168
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
C’est en tout cas ce qu’espèrent les constructeurs automobiles, et notamment les marques françaises qui travaillent actuellement avec le gouvernement pour tenter de sortir de ce dispositif en douceur.
Car si les mesures de soutien à l’achat de voitures neuves maintiennent artificiellement et ponctuellement le marché, elles ont pour effet pervers de provoquer un effondrement (passager mais conséquent) des ventes lorsqu’elles cessent.
Les précédentes jupettes et balladurettes l’ont déjà largement démontré et aujourd’hui, alors que le monde est en crise et que malgré les efforts de tous les ventes vont encore chuter de 20 % en France cette année, l’arrêt brutal de la prime à la casse au 31 décembre prochain pourrait provoquer un chaos sans précédent dans les concessions automobiles.
Pour Jean-Philippe Collin, directeur général des automobiles Peugeot, « le seul moyen d’éviter ce trou d’air plus ou moins profond est d’adopter une philosophie « soft landing » (atterrissage doux, en anglais NDLR), autrement dit de pratiquer une baisse progressive et étalée dans le temps du montant de la prime à la casse de manière à permettre à ceux qui n’ont pas eu la possibilité financière de remplacer leur voiture en 2009 de profiter eux aussi d’un petit coup de pouce en 2010.
Bien entendu, aujourd’hui rien n’est voté. Mais il est vrai qu’une telle mesure semble s’imposer.
Pour Jean-Philippe Collin, la prime à la casse pourra complètement disparaître « quand le marché des véhicules utilitaires redémarrera», sous-entendu quand les entreprises retrouveront de la croissance, signe que nous approchons d’une sortie de crise.
Mais reste à savoir quand.
Source : argusauto.com – 29/05/2009
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
La DS3 et la C3II ne pourront donc pas compter sue cette prime.
N'oublions pas non plus les difficultés que cette prime impose au parc des occasions récentes.
N'oublions pas non plus les difficultés que cette prime impose au parc des occasions récentes.
Tourer 59- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
PEUGEOT SE DIT OUVERT A TOUTE FORME D'ALLIANCE
La famille Peugeot est prête à étudier des rapprochements stratégiques à condition de rester l'actionnaire de référence du constructeur automobile français qui porte son nom, déclare le président de son conseil de surveillance dans une interview au journal Les Echos.
Selon la première page du quotidien économique de ce mardi, Thierry Peugeot explique que PSA Peugeot Citroën, touché comme tous les constructeurs automobiles par la crise économique, est ouvert à toute forme d'alliance ou de partenariat capitalistique.
"Les objectifs qui ont été fixés depuis longtemps sont, croissance, rentabilité et indépendance", souligne le représentant de l'actionnaire familial, qui contrôle 30% du capital de PSA Peugeot Citroën. "La famille n'est pas du tout opposée à regarder un certain nombre d'alliances ou de rapprochements."
Source : Reuters / Emmanuel Jarry – 01/06/2009
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Ca, on le savait.
Kékho- Apprenti
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Mais c'est le timing de la déclaration qui était important
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(…) il s'agit de donner à PSA « une position globale », a-t-il déjà indiqué à quelques proches.
Et pour y arriver, plus question de se contenter de croissance organique ou de coopérations techniques ciblées.
Dans le jeu des grands mariages qui commence à s'opérer avec la crise, PSA ne devrait donc pas rester longtemps absent. Le clan des cousins Peugeot n'a posé qu'une limite intangible : il compte plus que jamais rester l'actionnaire de référence, et préserver l'indépendance du groupe (voir ci-dessus). Pour le reste, tout est donc ouvert en matière de rapprochement.
Nombreux chantiers en interne
Philippe Varin n'a pas mis longtemps pour faire un constat : malgré sa présence sur quelques marchés lointains comme l'Amérique du Sud ou la Chine, PSA n'écoule qu'un tiers de sa production hors d'Europe et 93 % de l'encadrement de sa branche automobile est de nationalité française.
Plafonnant autour des 3 millions de voitures par an, le deuxième constructeur européen ne bénéficie pas de tous les « atouts d'échelle » que lui conféreraient des volumes plus importants.
D'autant que ces derniers temps, il a rajouté beaucoup de nouveaux modèles à ses deux gammes tout en cédant des parts de marché. Le nouveau président du directoire en est donc déjà persuadé :
la croissance organique ne permettra pas d'atteindre la taille critique recherchée.
Encore novice dans l'automobile, il se montre admiratif face au succès de l'alliance Renault-Nissan. Certes, les alliances ponctuelles déjà passées par PSA avec ses pairs (Ford, Fiat, Mitsubishi, Toyota, BMW) ont permis de limiter les impasses technologiques, mais cela pourrait s'avérer un peu court dans l'industrie automobile d'aujourd'hui.
Cela étant, il n'ignore pas non plus que la route des mariages dans l'automobile est semée d'échecs (Fiat-GM, Daimler-Chrysler, etc.).
S'il est facile de fusionner deux aciéristes, estime-t-il en substance, le secteur automobile est beaucoup plus délicat, les cultures d'entreprise y étant très particulières. Les marges de manoeuvre ne sont donc pas illimitées.
En attendant de trouver sa promise et de la présenter à la famille Peugeot pour recueillir son indispensable consentement, Philippe Varin a déjà de nombreux chantiers à piloter en interne :
la prolongation du plan stratégique Cap 2010, laissé par son prédécesseur et aucunement remis en cause,
l'amplification de sa présence dans les pays émergents (le groupe est notamment absent de l'Inde),
le virage à prendre vers les véhicules propres et un nouvel élan à donner à la marque Peugeot.
Tandis que Citroën s'est donné récemment d'ambitieuses orientations, la marque au lion est pour l'instant beaucoup plus timorée. « Le concept doit être redéfini », estime le nouveau pilote du groupe.
Hier, le titre clôturait en hausse de 9,64 %, à 23,38 euros.
Source : Les Echos.fr – 02/06/2009
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(…) il s'agit de donner à PSA « une position globale », a-t-il déjà indiqué à quelques proches.
Et pour y arriver, plus question de se contenter de croissance organique ou de coopérations techniques ciblées.
Dans le jeu des grands mariages qui commence à s'opérer avec la crise, PSA ne devrait donc pas rester longtemps absent. Le clan des cousins Peugeot n'a posé qu'une limite intangible : il compte plus que jamais rester l'actionnaire de référence, et préserver l'indépendance du groupe (voir ci-dessus). Pour le reste, tout est donc ouvert en matière de rapprochement.
Nombreux chantiers en interne
Philippe Varin n'a pas mis longtemps pour faire un constat : malgré sa présence sur quelques marchés lointains comme l'Amérique du Sud ou la Chine, PSA n'écoule qu'un tiers de sa production hors d'Europe et 93 % de l'encadrement de sa branche automobile est de nationalité française.
Plafonnant autour des 3 millions de voitures par an, le deuxième constructeur européen ne bénéficie pas de tous les « atouts d'échelle » que lui conféreraient des volumes plus importants.
D'autant que ces derniers temps, il a rajouté beaucoup de nouveaux modèles à ses deux gammes tout en cédant des parts de marché. Le nouveau président du directoire en est donc déjà persuadé :
la croissance organique ne permettra pas d'atteindre la taille critique recherchée.
Encore novice dans l'automobile, il se montre admiratif face au succès de l'alliance Renault-Nissan. Certes, les alliances ponctuelles déjà passées par PSA avec ses pairs (Ford, Fiat, Mitsubishi, Toyota, BMW) ont permis de limiter les impasses technologiques, mais cela pourrait s'avérer un peu court dans l'industrie automobile d'aujourd'hui.
Cela étant, il n'ignore pas non plus que la route des mariages dans l'automobile est semée d'échecs (Fiat-GM, Daimler-Chrysler, etc.).
S'il est facile de fusionner deux aciéristes, estime-t-il en substance, le secteur automobile est beaucoup plus délicat, les cultures d'entreprise y étant très particulières. Les marges de manoeuvre ne sont donc pas illimitées.
En attendant de trouver sa promise et de la présenter à la famille Peugeot pour recueillir son indispensable consentement, Philippe Varin a déjà de nombreux chantiers à piloter en interne :
la prolongation du plan stratégique Cap 2010, laissé par son prédécesseur et aucunement remis en cause,
l'amplification de sa présence dans les pays émergents (le groupe est notamment absent de l'Inde),
le virage à prendre vers les véhicules propres et un nouvel élan à donner à la marque Peugeot.
Tandis que Citroën s'est donné récemment d'ambitieuses orientations, la marque au lion est pour l'instant beaucoup plus timorée. « Le concept doit être redéfini », estime le nouveau pilote du groupe.
Hier, le titre clôturait en hausse de 9,64 %, à 23,38 euros.
Source : Les Echos.fr – 02/06/2009
Invité- Invité
Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Si on traduit, cela voudrait sans doute dire que PSA ferait un nouveau groupe avec une participation croisée façon Renault/Nissan.
PSA prendrait x % de ... BMW ou Mitsubishi et l'autre groupe entrerait dans le groupe PSA ...
oui ? non ?
Quoi qu'il en soit, PSA est un petit groupe au niveau de la bourse. il lui sera difficile d'être un prédateur ...
PSA prendrait x % de ... BMW ou Mitsubishi et l'autre groupe entrerait dans le groupe PSA ...
oui ? non ?
Quoi qu'il en soit, PSA est un petit groupe au niveau de la bourse. il lui sera difficile d'être un prédateur ...
Nikoxx- Apprenti
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
et la mainmise de la famille peugeot refroidira peut être certain prétendant
Tourer 59- Expert
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Je crois que l'interview n'a pas été postée :
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Double actualité cette semaine chez PSA Peugeot Citroën : le nouveau patron, Philippe Varin, est officiellement en fonction depuis hier et le groupe tiendra demain à Paris son assemblée générale. Thierry Peugeot, président du conseil de surveillance, qui s'exprime rarement publiquement, explique comment le groupe peut redémarrer, après un passage à vide et se dit ouvert à toute forme d'alliance ou partenariat capitalistique, à condition que la famille Peugeot reste actionnaire de référence.
Le groupe PSA a beaucoup tangué ces derniers temps, avec un soudain changement de patron. Le fait de changer simplement le dirigeant en haut de la pyramide suffira-t-il à fermer la parenthèse ?
Concernant Christian Streiff, c'est une décision extrêmement importante, lourde et grave que nous avons prise il y a quelques mois. Je suis un passionné de la gouvernance. Tant que c'était lui qui était en place, c'était bien lui le président du directoire, et je n'avais pas à faire étalage public d'éventuelles questions ou interrogations. Mais le jour où le conseil de surveillance décide qu'il faut changer et s'estime capable d'annoncer au même moment la nomination d'un nouveau président du directoire, alors le conseil assume sa décision et il va jusqu'au bout. Trouver un manager de stature internationale, de très grande compétence dans une crise aussi violente que celle que nous traversons, ce n'est pas si simple. On a réussi à se mettre d'accord avec Philippe Varin, un homme qui a toutes les qualités pour faire redémarrer le groupe et le placer dans une nouvelle étape de croissance, de rentabilité et de développement. Depuis le 1er juin, date de son entrée en fonction, c'est une nouvelle ère qui commence. Il faut passer d'un groupe que j'estime international à un groupe mondial. Cela dit, lors de la réunion du conseil de surveillance du 29 mars, plusieurs membres ont insisté pour dire qu'il ne fallait absolument pas remettre en question tout ce qui avait été fait par Christian Streiff.
C'était juste un problème de style de management ?
Il y a eu un problème important de management, une certaine incompréhension et des difficultés à suivre un certain nombre de décisions qui avaient été prises.
C'est peut-être plus ardu de diriger PSA qu'un groupe plus traditionnel, dirigé par un PDG classique...
La gouvernance de PSA est organisée en conseil de surveillance et directoire. Chacun doit être dans son rôle. Le premier représente l'ensemble des actionnaires, pas uniquement la famille, et il est là aussi pour nommer le directoire. Le directoire, lui, est chargé de la partie opérationnelle et représente la société à l'extérieur. Nous sommes très bien avec ce système, il ne faut pas qu'il y ait de mélange entre les deux. Par ailleurs, l'ensemble des gens qui travaillent dans le groupe sont extrêmement ambitieux pour l'entreprise. D'où une certaine frustration si les résultats ne sont pas à la hauteur. D'où aussi le choix d'aller chercher des présidents du directoire avec de forte, voire très forte personnalité : que ce soit Jacques Calvet, Jean-Martin Folz, Christian Streiff et certainement Philippe Varin. C'est un choix stratégique majeur. Il y a une chose que je considère comme un atout fondamental : la famille actionnaire de référence, le même depuis près de deux cents ans. Cela donne une stabilité énorme à ce groupe et évite au président du directoire de se poser toute une série de questions existentielles. Un autre point est à noter : je n'interfère pas dans la partie opérationnelle du groupe, je respecte à 100 % la gouvernance. En revanche, je suis présent. Il faut savoir ce qui se passe, dans quel sens va l'entreprise. Cela passe par un dialogue quasi permanent avec le directoire.
L'unité de la famille, aujourd'hui, est-elle ressoudée ?
Nous avons des discussions que l'on peut avoir dans toutes les familles, cela dit nous sommes tous conscients d'avoir une responsabilité commune énorme, sur le développement, l'avenir du groupe et de ses salariés. Je ne suis pas sûr que les problèmes rapportés ici où là soient si graves que cela. La décision de nommer Christian Streiff avait été prise de façon unanime par la famille et par le conseil de surveillance, en novembre 2006. Aujourd'hui, la priorité numéro un, c'est l'entreprise, sa croissance. On a déjà vécu des crises très fortes et on s'en est toujours sortis. Il faut tourner la page de ce douloureux chapitre et regarder vers l'avant.
Dans le gigantesque Monopoly qui s'ouvre pour l'industrie automobile, avec des faillites retentissantes et des mariages, quelle est la position de la famille ?
Les objectifs qui ont été fixés depuis longtemps sont : croissance, rentabilité et indépendance. On souhaite rester indépendants, rester dans l'automobile, tout en nous développant. On a prouvé dans le passé que l'on pouvait y arriver, si l'on s'en donne les moyens. Nous avons conclu, notamment depuis Jean-Martin Folz, toute une série de coopérations. Ce que nous voulons, c'est poursuivre l'action des précédents présidents du directoire, Streiff compris, et notamment le développement à l'international.
On nous dit ascétiques, prudents, conservateurs, mais en même temps les générations précédentes ont pris, dans le passé, des risques très forts. Par exemple, le rachat des filiales européennes de Chrysler, juste avant la grave crise du début des années 1980. Finalement, ça s'est avéré positif.
Le problème de la taille critique est-il posé ?
Je ne sais pas vraiment s'il existe un seuil critique. Il existe certainement des plates-formes automobiles sur lesquelles il faut mettre le plus grand nombre de voitures possible. C'est une des clefs pour baisser les coûts. Et nous avons toujours pour objectif de grimper dans le classement des constructeurs mondiaux. La famille n'est pas du tout opposée à regarder un certain nombre d'alliances ou de rapprochements.
La famille Peugeot serait-elle prête à être diluée ?
Elle l'a déjà été dans le passé. Elle est tombée à près de 21 %, après l'opération Chrysler et des augmentations de capital. Nous ne sommes pas du tout opposés au développement du groupe et serions prêts, dans ce cadre, et si cela s'avérait nécessaire, à examiner la question. En revanche, j'estime qu'avoir un actionnaire de référence à 30 %, c'est un atout majeur pour PSA. Ce que nous voulons, c'est une stratégie de croissance et de rentabilité, dans laquelle nous restons indépendants. Tout dépend du dossier, du schéma qui nous sera mis sur la table. C'est vrai que le monde de l'automobile bouge. Jamais on aurait imaginé il y a quelques mois, par exemple, que GM se séparerait d'Opel ou fasse faillite.
L'administration Obama vient de mettre l'accent sur les véhicules propres aux Etats-Unis. N'est-ce pas une porte d'entrée inespérée pour les groupes qui ont de bons niveaux de CO2 en Europe, comme PSA ?
La crise va-t-elle générer des opportunités ? Peut-être. Il faut voir à quelle vitesse le comportement des Américains va changer. Mais une telle proposition relève d'abord d'une discussion avec le président du directoire.
Source : LesEchos.fr
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Double actualité cette semaine chez PSA Peugeot Citroën : le nouveau patron, Philippe Varin, est officiellement en fonction depuis hier et le groupe tiendra demain à Paris son assemblée générale. Thierry Peugeot, président du conseil de surveillance, qui s'exprime rarement publiquement, explique comment le groupe peut redémarrer, après un passage à vide et se dit ouvert à toute forme d'alliance ou partenariat capitalistique, à condition que la famille Peugeot reste actionnaire de référence.
Le groupe PSA a beaucoup tangué ces derniers temps, avec un soudain changement de patron. Le fait de changer simplement le dirigeant en haut de la pyramide suffira-t-il à fermer la parenthèse ?
Concernant Christian Streiff, c'est une décision extrêmement importante, lourde et grave que nous avons prise il y a quelques mois. Je suis un passionné de la gouvernance. Tant que c'était lui qui était en place, c'était bien lui le président du directoire, et je n'avais pas à faire étalage public d'éventuelles questions ou interrogations. Mais le jour où le conseil de surveillance décide qu'il faut changer et s'estime capable d'annoncer au même moment la nomination d'un nouveau président du directoire, alors le conseil assume sa décision et il va jusqu'au bout. Trouver un manager de stature internationale, de très grande compétence dans une crise aussi violente que celle que nous traversons, ce n'est pas si simple. On a réussi à se mettre d'accord avec Philippe Varin, un homme qui a toutes les qualités pour faire redémarrer le groupe et le placer dans une nouvelle étape de croissance, de rentabilité et de développement. Depuis le 1er juin, date de son entrée en fonction, c'est une nouvelle ère qui commence. Il faut passer d'un groupe que j'estime international à un groupe mondial. Cela dit, lors de la réunion du conseil de surveillance du 29 mars, plusieurs membres ont insisté pour dire qu'il ne fallait absolument pas remettre en question tout ce qui avait été fait par Christian Streiff.
C'était juste un problème de style de management ?
Il y a eu un problème important de management, une certaine incompréhension et des difficultés à suivre un certain nombre de décisions qui avaient été prises.
C'est peut-être plus ardu de diriger PSA qu'un groupe plus traditionnel, dirigé par un PDG classique...
La gouvernance de PSA est organisée en conseil de surveillance et directoire. Chacun doit être dans son rôle. Le premier représente l'ensemble des actionnaires, pas uniquement la famille, et il est là aussi pour nommer le directoire. Le directoire, lui, est chargé de la partie opérationnelle et représente la société à l'extérieur. Nous sommes très bien avec ce système, il ne faut pas qu'il y ait de mélange entre les deux. Par ailleurs, l'ensemble des gens qui travaillent dans le groupe sont extrêmement ambitieux pour l'entreprise. D'où une certaine frustration si les résultats ne sont pas à la hauteur. D'où aussi le choix d'aller chercher des présidents du directoire avec de forte, voire très forte personnalité : que ce soit Jacques Calvet, Jean-Martin Folz, Christian Streiff et certainement Philippe Varin. C'est un choix stratégique majeur. Il y a une chose que je considère comme un atout fondamental : la famille actionnaire de référence, le même depuis près de deux cents ans. Cela donne une stabilité énorme à ce groupe et évite au président du directoire de se poser toute une série de questions existentielles. Un autre point est à noter : je n'interfère pas dans la partie opérationnelle du groupe, je respecte à 100 % la gouvernance. En revanche, je suis présent. Il faut savoir ce qui se passe, dans quel sens va l'entreprise. Cela passe par un dialogue quasi permanent avec le directoire.
L'unité de la famille, aujourd'hui, est-elle ressoudée ?
Nous avons des discussions que l'on peut avoir dans toutes les familles, cela dit nous sommes tous conscients d'avoir une responsabilité commune énorme, sur le développement, l'avenir du groupe et de ses salariés. Je ne suis pas sûr que les problèmes rapportés ici où là soient si graves que cela. La décision de nommer Christian Streiff avait été prise de façon unanime par la famille et par le conseil de surveillance, en novembre 2006. Aujourd'hui, la priorité numéro un, c'est l'entreprise, sa croissance. On a déjà vécu des crises très fortes et on s'en est toujours sortis. Il faut tourner la page de ce douloureux chapitre et regarder vers l'avant.
Dans le gigantesque Monopoly qui s'ouvre pour l'industrie automobile, avec des faillites retentissantes et des mariages, quelle est la position de la famille ?
Les objectifs qui ont été fixés depuis longtemps sont : croissance, rentabilité et indépendance. On souhaite rester indépendants, rester dans l'automobile, tout en nous développant. On a prouvé dans le passé que l'on pouvait y arriver, si l'on s'en donne les moyens. Nous avons conclu, notamment depuis Jean-Martin Folz, toute une série de coopérations. Ce que nous voulons, c'est poursuivre l'action des précédents présidents du directoire, Streiff compris, et notamment le développement à l'international.
On nous dit ascétiques, prudents, conservateurs, mais en même temps les générations précédentes ont pris, dans le passé, des risques très forts. Par exemple, le rachat des filiales européennes de Chrysler, juste avant la grave crise du début des années 1980. Finalement, ça s'est avéré positif.
Le problème de la taille critique est-il posé ?
Je ne sais pas vraiment s'il existe un seuil critique. Il existe certainement des plates-formes automobiles sur lesquelles il faut mettre le plus grand nombre de voitures possible. C'est une des clefs pour baisser les coûts. Et nous avons toujours pour objectif de grimper dans le classement des constructeurs mondiaux. La famille n'est pas du tout opposée à regarder un certain nombre d'alliances ou de rapprochements.
La famille Peugeot serait-elle prête à être diluée ?
Elle l'a déjà été dans le passé. Elle est tombée à près de 21 %, après l'opération Chrysler et des augmentations de capital. Nous ne sommes pas du tout opposés au développement du groupe et serions prêts, dans ce cadre, et si cela s'avérait nécessaire, à examiner la question. En revanche, j'estime qu'avoir un actionnaire de référence à 30 %, c'est un atout majeur pour PSA. Ce que nous voulons, c'est une stratégie de croissance et de rentabilité, dans laquelle nous restons indépendants. Tout dépend du dossier, du schéma qui nous sera mis sur la table. C'est vrai que le monde de l'automobile bouge. Jamais on aurait imaginé il y a quelques mois, par exemple, que GM se séparerait d'Opel ou fasse faillite.
L'administration Obama vient de mettre l'accent sur les véhicules propres aux Etats-Unis. N'est-ce pas une porte d'entrée inespérée pour les groupes qui ont de bons niveaux de CO2 en Europe, comme PSA ?
La crise va-t-elle générer des opportunités ? Peut-être. Il faut voir à quelle vitesse le comportement des Américains va changer. Mais une telle proposition relève d'abord d'une discussion avec le président du directoire.
Source : LesEchos.fr
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Re: [Information] Citroën - Par ici les news...
Bon d’accord, ce n’est pas vraiment Citroën France mais c’est plutôt espagnol. Et puis ce n’est pas vraiment Citroën mais plutôt une écurie privée.
Mais c’est bien une C4 (très largement revisitée, on pourrait même dire une réinterprétation : châssis tubulaire, carrosserie en fibre de verre, … ) et Pierre Lartigue au volant. Et la voiture est bien rose.
Les début internationaux sont prévus pour septembre 2009 : Rallye du Maroc
Source (d’après) : autosportniews.be – 02/06/2009
Quoique, si PSA fusionne avec Mitsubishi, un C-Crosser, des autocollants et hop !
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