Re: [Information] Citroën - Par ici les news...

[c-dolu]

Pas de politique ici merci!
Il y a plein de forums pour celà!
Fin du HS.

[Invité]

Citroën dévoile ce jeudi à 18 H, à Paris, le premier concept car qui préfigure la nouvelle lignée de voitures commercialisée sous le nom de DS. Cette gamme aura trois modèles identifiés sous les sigles DS3, DS4, et DS5.
Le concept présenté aujourd’hui sera très proche de la DS 3 d’entrée de gamme qui sera vendue à partir de 2010.
Contrairement à ce que certains supputaient hâtivement, ce modèle ne sera pas assemblé à Rennes, mais dans l’usine d’Aulnay-sous-Bois.

Source : Ouest-France – 05/05/2009

[Invité]

, ils ont modifié leur info

(…)
Contrairement à ce que certains supputaient, ce modèle (DS3) ne sera pas assemblé à Rennes, mais dans l’usine de Poissy.
La DS 4 (millieu de gamme) sera fabriquée à Mulhouse.

Reste la DS5. Citroën n'a pas encore annoncé le lieu de sa production.

Source : Ouest-France – 05/02/2009

[Invité]

La famille Peugeot conteste??? Ils doivent être jaloux et ne doivent pas supporter que Citroen marche mieux que Peugeot en ce moment

[Invité]

(…)
34 ans après le lancement du label "Eurocasion", Citroën étoffe sa politique et lance "Citroën Select", une offre de prestations renforcée dont une extension de garantie sur les véhicules jusqu'à 7 ans ; ce, dans le cadre de l’évolution de son image.(…)

Source : Bolsamania.fr – 06/02/2009

[Kékho]

POURQUOI CHRISTIAN STREIFF EST-IL SUR LA SELETTE

Deux ans après son arrivée, le président du directoire de PSA serait contesté en interne selon La Tribune. L'action Peugeot lâchait 3,6% jeudi. Christian Streiff semble bien au coeur d'un faisceau de pressions plus ou moins contraires.

Christian Streiff prenait le volant de Peugeot Citroën après avoir brutalement claqué la porte d'Airbus. A l'époque, les investisseurs et les spécialistes du secteur saluaient l'arrivée de cet industriel expérimenté, au style direct, censé redonner du peps au 1er constructeur français. Las ! Aujourd'hui, le patron de PSA serait fragilisé, parce que « contesté » en interne dixit La Tribune. L'homme manquerait surtout de « vision stratégique » selon un cadre cité par le quotidien qui affirme par aileurs que la famille Peugeot est divisée sur l'opportunité de le remplacer. L'action Peugeot dérapait de 3,6% jeudi en clôture.

Un bilan mitigé
Appelé pour tailler dans les coûts et repenser entièrement les process du groupe à l'heure où la conjoncture s'était déjà retournée, Christian Streiff, 54 ans, subit logiquement les événements au moment où la crise devient assourdissante. Mais un autre patron aurait-il fait mieux dans un tel climat ? « Rien n'est moins sûr, explique à L'Expansion.com Guillaume Mouren, analyste chez Xerfi. Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Certes, depuis son arrivée, il n'y pas eu de méga-succès commercial, mais dans le même temps, il a sû abaisser les coûts d'approvisionnement et s'est attaqué à la question de la qualité ».

D'autres voix se veulent toutefois plus virulentes. « Le regroupement des deux bureaux d'études - Peugeot et Citroën - n'est pas forcément une bonne idée. Car ça risque de tuer les marques au lieu de les différencier davantage, détaille un expert auto sous couvert d'anonymat. De même, la notion de produit "premium compétitif" dans chaque segment n'est pas claire. C'est peut-être le signe que ça ne l'est pas tant que ça au sein de la "maison". Enfin, contrairement à Renault, PSA n'a pas de vision sur le low-cost. Or, on le voit à l'usage, la Logan est l'une des rares machines à cash du rival ».

L'opposition des cadres
C'est manifestement tout sauf un hasard. En quelques semaines, le groupe a enregistré une hémorragie de ses cadres dirigeants. Le DRH, Jean-Luc Vergne, est parti, tout comme Hervé Guyot, le directeur général de BPS, la division financière du groupe, ainsi que Gilles Michel, le patron de la marque Citroën. « En fait, bon nombre de cadres historiques ne lui ont pas pardonné d'être arrivé avec sa garde rapprochée, glisse un analyste qui couvre les valeurs autos. Plus généralement, certains lui reprochent de ne pas avoir de culture automobile et de n'être qu'un bon gestionnaire au day-to-day ». « C'est un fonceur, c'est une personnalité qui dérange » évoque un autre familier des problématiques automobiles.

L'ambiguité de la famille Peugeot
« Le drame de Christian Streiff est qu'il est coincé par la famille Peugeot, confie à L'Expansion.com un autre fin connaisseur des arcanes du groupe sochalien. A vrai dire, il n'a pas les coudées franches. Il dirige l'opérationnel mais il n'a pas la main sur la stratégie. C'est un COO et non un vrai CEO. C'est un peu le Patrick Pelata de Peugeot (ndlr directeur général délégué de Renault, le bras droit de Carlos Ghosn). Or, aujourd'hui, la famille actionnaire est dans l'embarras. Les Peugeot se demandent en effet "Comment assurer la pérennité de notre propre actif ?" Faut-il s'allier ? Faut-il rester seul ? En attendant, ils demandent à leur président du directoire d'assumer le sale boulot ».

Régulièrement circulent des hypothèses d'alliance, alors que jusqu'à présent le n°1 français s'en est toujours tenu à son stand-alone. PSA doit-il fusionner avec Fiat ? Avec BMW ? Il y a trois jours, des dirigeants du constructeur allemand ont ainsi rencontré des conseillers du gouvernement français, que ce soit à l'Elysée, Matignon ou Bercy, pour discuter du cas Peugeot Citroën. Sachant que les deux groupes coopèrent déjà dans les moteurs. « Actuellement, PSA vaut à peu près 3 milliards en bourse, donc les Peugeot, forts de leurs 30%, pèsent environ 1 milliard. Seulement, en face, Fiat est à 4,6 milliards et BMW à plus de 12 milliards, dont 4 milliards pour la seule famille Quandt, ajoute un autre spécialiste parisien de l'automobile. Dès lors, les Peugeot craignent d'être dilués s'ils acceptent de s'adosser. En revanche, l'Etat français, lui, ne serait pas contre un rapprochement capitalistique, pourvu que les usines Peugeot continuent de tourner en France ! » En début de semaine, La Tribune indiquait dans ses colonnes que « le gouvernement réfléchi[ssait] à de nouvelles coopérations pour les constructeurs français ».

La pression de l'Etat
Contrairement à Renault qui s'est empressé de donner des gages à l'Etat actionnaire en précisant qu'il préservera l'emploi en France, PSA regimbe toujours devant les exigences de l'Elysée. En clair, le groupe dirigé par Christian Streiff ne s'est pas engagé à ne pas restructurer dans l'Hexagone. Or, c'est la condition sine qua non pour être renfloué en cash. « Fondamentalement, Renault et PSA ne subissent pas la même pression du gouvernement. Mais contrairement à ce que l'on croit, ce n'est pas le groupe semi-public mais bien le groupe privé familial qui est davantage exposé. Car Renault n'a que 38% de ses capacités en France contre 50% pour Peugeot Citroën. Aussi l'Etat ne se prive pas de destabiliser Christian Streiff. L'idée étant de faire passer le message aux Peugeot qu'il n'est peut-être plus l'homme de la situation. Mais en même temps, sur ce point précis, la famille est derrière lui... » « Il est finalement entre l'enclume et le marteau, avec d'un côté la famille Peugeot, et de l'autre, l'Etat » observe un de nos experts en off. Une situation ni enviable, ni tenable à long terme. « On peut s'interroger sur le timing de l'article de La Tribune, relève Guillaume Angué, analyste au CM-CIC, à quelques jours de la publication des résultats annuels » qui tomberont la semaine prochaine, le 11.

Source : L'Expansion.com

[Tourer 59]

Christian Streiff a quand même pour citroen une stratégie qui ne fait que démarrer.
Il est certain que si la famille peugeot vient de découvrir la DS3 la C3 picasso elle a de quoi se poser des questions non pas sur l'avenir de citroen mais sur celui de peugeot qui avec le renouveau de Citroën va prendre un sacré coup de vieux.
Mais que se passera t-il pour les projets Citroen naissants si Christian Streiff quitte le groupe?
Espérons que le disigner Jean Pierre Ploué restera lui!

[Invité]

J'espère que la presentation des produits premium fera fermer sa g....e au gouvernement. De plus, la production sera faite en France. Mais que veulent-ils? Et la différence 38% et 50%...incroyable la mauvaise foi de nos dirigeants. Encore un qui veut imposer sa loi j'ai l'impression, pour faire du populisme!!

Sinon, sans politique (parce qu'ils n'y connaissent pas grand chose) Citroen a une vision sur le "Low Cost". Mais c'est pas parce que on ne fait pas une Logan toute moche (pardon) et de qualité moyenne qu'on a pas un projet. Et la Cactus alors?? Elle sert à quoi, cette interprétation moderne de la 2CV?? Encore une fois, y'en a qui voient pas plus loin que le bout de leur nez.

[Kékho]

Citroën déclinera ses véhicules haut de gamme sous le label DS


Malgré l'ambiance de crise actuelle, la marque au double chevron ose le pari de monter en gamme. A partir de 2010, elle lancera trois nouveaux véhicules « crossover », estampillés DS. Mais toute ressemblance avec l'illustre berline, qui fait partie du patrimoine national, s'arrête là.
Un toit plat et blanc... seul clin d'oeil de la DS3 à la mythique berline.Le point commun entre « Fantomas se déchaîne », « Les Valseuses » et « Rabbi Jacob » ? La DS, bien sûr. La mythique berline, dont la longue carrière commerciale s'est interrompue en 1975, a gardé un tel capital affectif que Citroën a décidé d'exhumer ce label pour baptiser sa nouvelle « gamme distinctive », qui viendra se ranger à côté de ses modèles traditionnels. La marque au double chevron tente un pari osé en période de crise, projetant de lancer coup sur coup trois nouveaux modèles : DS3, DS4, et DS5, qui correspondront chacun à un segment (citadine, compacte, routière), venant ainsi « doubler par le haut » les actuelles C3, C4 et C5. La DS3, dont une version quasi définitive a été présentée à la presse hier soir, inaugurera cette famille à partir de 2010. Bonne nouvelle en ces temps très incertains pour l'emploi en France : la DS3 sera fabriquée à l'usine PSA de Poissy, à côté de la Peugeot 207, et la DS4 à Mulhouse, avec ses cousines de même gabarit.

Cependant, les aficionados de l'illustre voiture officielle du général de Gaulle, dessinée par l'italien Flaminio Bertoni avec le concours de l'ingénieur venu de l'aéronautique André Lefebvre, risquent d'être déçus. Malgré le toit plat et blanc de la DS3, en forme de clin d'oeil aux spécialistes, pas question de ressemblance : le but de Citroën n'est nullement de verser dans le « néo-rétro », comme a pu le faire Fiat avec sa célèbre 500, Volkswagen avec la New Beetle, ou BMW avec la Mini.

« Offrir un désir accessible »
« Nous ne refaisons pas une DS, une voiture qui est incopiable et irremplaçable. Notre but n'est en aucun cas de faire un «revival» ou une copie », explique aux « Echos » Vincent Besson, directeur produits et marchés de la marque. La stratégie est seulement de créer un nouveau label, à la manière de Picasso pour la famille des monospaces, afin d'élargir l'offre.

Alors que Renault a su étoffer son audience avec le sillon du « low cost », incarnée par la gamme Logan, Citroën tente le pari inverse, en montant en gamme. « Nous voulons offrir un désir accessible. Trois modèles inédits, destinés à des gens qui ne veulent plus surpayer quelque chose, poursuit Vincent Besson. Aujourd'hui, un grand nombre d'automobilistes ne veulent plus céder ni aux codes figés du haut de gamme actuel, ni aux prix des marques de spécialistes, qui se situent au-delà du raisonnable. »

En clair, Citroën espère capter davantage de clients chez Mercedes ou Audi que dans sa propre zone de chalandise. Les prix des trois modèles se situeront entre ceux des Citroën « normales » et ceux des rois du haut de gamme allemands. Sans plus de précision pour le moment. D'une certaine façon, la marque suit un peu le même raisonnement que Fiat avec sa marque premium Lancia, ou aux Etats-Unis Ford avec son blason plus élitiste Mercury. Les trois modèles badgés DS auront des châssis et moteurs partagés avec d'autres modèles PSA, mais disposeront d'une robe entièrement nouvelle. Le montant du « ticket d'entrée industriel » pour ce triple programme n'est pas communiqué, pas plus que les prévisions de ventes, que Citroën qualifie de « prudentes ».

La nouvelle gamme DS pourra-t-elle autant frapper les esprits que l'ancienne, que Roland Barthes qualifiait de « Déesse ayant tous les caractères d'un de ces objets descendus d'un autre univers », et de « nouveau «Nautilus» » ? Dans un monde automobile archicouvert par la concurrence et de plus en plus corseté par les normes techniques, s'attirer de tels superlatifs devient ardu. Quant au clin d'oeil néo-rétro, méfiance : bien des générations ont passé depuis les années1960. Seulement 20 % des personnes sondées aujourd'hui par la marque attribuent le label DS à Citroën ! Les autres pensant plus spontanément à la console de jeu de Nintendo...

Source : LesEchos.fr

[Tourer 59]

de puis que je le rêvais ce petit véhicule, pour quand on est plus qu'a deux, HDG quand on aime son confort pour rouler et voila Citroën l'a fait

Reste a espérer que le confort sonore, visuel et mécanique sera là et bien là

[Le-Flo]

du niveau de la C5 au point de vu sonore
avec une belle gamme de couleur et de personnalisations possible

[Alvar]

Citroën mise sur la DS pour devenir un constructeur haut de gamme

Déception! Pour tous ceux qui s'attendaient à une DS remise au goût du jour, la présentation du dernier modèle de Citroën n'est qu'une déception. La nouvelle DS de Citroën n'a rien de sa grande sœur en dehors du nom. "Nous n'avons jamais dit que cela serait une DS modernisée. DS c'est un label pour notre nouvelle gamme de voiture haut de gamme", se défend Citroën.

Soit. Mais la marque aux chevrons ne peut ignorer le buzz qu'elle a créé en reprenant le nom de cette voiture qui a marqué deux décennies. "Effectivement la DS parle à tout le monde, et en plus avec la DS de Nintendo cela donne une image de technologie et de design, ce qu'est notre nouvelle DS. C'est aussi un clin d'œil au passé, alors que nous fêtons les 131 ans du fondateur. Enfin, DS signifie Different Spirit, ce qui correspond aussi à la nouvelle voiture", explique Citroën. En résumé, "au niveau de la communication et de l'image, c'est tout bénéf!", analyse-t-on chez le constructeur.

Tout bénéf? Pas si sûr. Créer une frustration est contreproductif sur le plan du marketing. Ceux qui attendaient avec nostalgie le retour de la DS, bouderont sans doute la nouvelle création de Citroën. Mais seul l'avenir dira si la stratégie de communication de la marque s'est avérée pertinente. D'autant que la DS sera lancée en 2010, ce qui laisse le temps aux déçus d'oublier l'incident.

Au-delà de la vive déception sur le look de cette DS, Citroën entend, avec cette nouvelle voiture, confirmer son virage stratégique vers le haut de gamme. La marque reprend enfin ses lettres de noblesses, après 32 ans d'attente. Retour vers le passé. Il y avait alors deux constructeurs innovants, Citroën et Audi. Les deux ont fait faillite (Citroën en 1934 et Audi en 1928). Sous l'ère Michelin, Citroën lance la fameuse DS en 1955 qui connaîtra un succès retentissant. Mais la marque au chevron change encore de main, et se retrouve en 1976 dans le giron de Peugeot qui signe la fin de la production de la DS. De son côté, Audi est racheté en 1964 par Volkswagen qui en fait sa marque haut de gamme. Citroën n'a pas cette chance.

"La famille Peugeot aux commandes, Citroën est devenu un constructeur de voitures de bas et moyenne gamme", commente Frédéric Fréry, professeur de stratégie à l'ESCP-EAP. Il faudra attendre l'arrivée de Jean-Pierre Folz à la tête de PSA Peugeot Citroën en 1997 pour que Citroën change de positionnement. "La Xsara Picasso en 2001 et ensuite les séries de C désignés par Jean-Pierre Bloué ont donné un nouveau souffle à la gamme", reconnaît Citroën.

La sortie de la nouvelle DS a pour but de confirmer cette montée en gamme. Et Citroën a opté pour un positionnement original afin d'y parvenir. "Pour leurs voitures haut de gamme, les constructeurs ont jusqu'à présent eu deux stratégies. Soit ils proposent une voiture plus haut de gamme avec plus d'équipements pour un modèle donné, comme par exemple la 206 "Griffe" de Peugeot qui est le haut de gamme de la 206. Soit, les constructeurs créent une nouvelle marque, c'est le cas de l'Infiniti de Nissan ou de la Lexus de Toyota qui ne donnent pas l'impression d'être des Nissan ou des Toyota. Citroën est entre les deux: la nouvelle DS est clairement identifiable à une Citroën et c'est une marque haut de gamme", analyse Frédéric Fréry. L'utilisation de la marque DS est donc bien un label haut de gamme pour Citroën comme l'était l'ancienne DS et non sa réplique des temps modernes. Et si l'ambigüité peut créer du buzz, pourquoi s'en priver?

Anne-Sophie Galliano

http://www.e24.fr/entreprises/transport/article54092.ece

[Nikoxx]

Mon père (qui n'a aucune passion ni conaissance dans l'automobile) m'a répondu ceci "La Mini récente a repris la ligne de la première génération en la rendant plus belle" (il est amoureux de la Mini) Mais la nouvelle DS ... (les points de suspension montre toute sa déception).

Je lui ai donc expliquer au tel que DS serait une gamme, que DS3 allait concurrencer la Mini (en étant plus belle, il faudra que j'imprime des photos, il n'a pas internet, et ne se réfère qu'au court reportage de France 2 hier soir).

Je ne suis pas certain qu'il est bien compris la stratégie de Citroën. Pour lui DS, c'est une grande berline ...

Je pense que mon père est assez représentatif de la population. Alors bon courage à la comm' de Citroën

[Kékho]

Concernant l'article posté par Alvar, les journalistes sont vraiment des boulets... En plus du "Jean-Pierre Foltz" ou du "Jean-Pierre Bloué" qui montre la qualité journalistique de cette chère Anne-Sophie, le début de l'article est complètement polémique et vide de sens. Bref, encore une belle preuve de la médiocrité journalistique d'une belle franche en France...

@Nikoxx : je comprends ton père, avec la déformation des propos qu'on eu les journalistes, c'est pas simple d'y voir clair...

Néanmoins, la majorité des clients visés par cette DS3 rente les jeunes (20/30 ans) visiblement, qui eu n'ont pas vraiment en tête la vraie DS (mais plus la Nitendo comme cité plus haut). Aucun risque de confusion...

Donc, au dela du buzz créé, qui ressemble ni plus ni moins à celui fait par le Picasso lors de sa présentation (blasphème d'utiliser le nom du peintre ), je ne pense vraiment pas que l'ambiguïté demeurera, ou qu'elle constituera un frein...

[Invité]

+1 le nom Picasso avait fait bondir à l'époque (en 1999, pas en 2001), comme celui récemment de MiTo Et je pense aussi aux journaleux à deux balles qui à l'époque se moquaient du nom Mégane...

On leur a dit pourtant que ce n'était pas une Nouvelle DS. Mais les journalistes se précipitent sans savoir et les gens croient tout ce qu'on leur dit sans vérifier les sources.

Moi on me dirait dans deux jours on présente la voiture qui m'a fait rêver étant gamin, je jubile mais je vais aussi voir dans d'autres endroits pour confirmer les premières sources...Ca évite de jolies désillusions.

Et puis on oublie la DS5, qui si elle est un Coupé, pourra reprendre des "formes" de la DS Mais le retour de l'original NON! Qu'elle ne soit pas souillée par un remake foireux à la Fiat 500, avec justes des grosses jantes pour faire style c'est nouveau

[Invité]

Pour plus de chiffres, d'infos, de photos, sur les véhicules vendus (et invendus) voir post page précédente

[Nikoxx]

+1 le nom Picasso avait fait bondir à l'époque (en 1999, pas en 2001), comme celui récemment de MiTo Et je pense aussi aux journaleux à deux balles qui à l'époque se moquaient du nom Mégane...

On leur a dit pourtant que ce n'était pas une Nouvelle DS. Mais les journalistes se précipitent sans savoir et les gens croient tout ce qu'on leur dit sans vérifier les sources.

Moi on me dirait dans deux jours on présente la voiture qui m'a fait rêver étant gamin, je jubile mais je vais aussi voir dans d'autres endroits pour confirmer les premières sources...Ca évite de jolies désillusions.

Et puis on oublie la DS5, qui si elle est un Coupé, pourra reprendre des "formes" de la DS Mais le retour de l'original NON! Qu'elle ne soit pas souillée par un remake foireux à la Fiat 500, avec justes des grosses jantes pour faire style c'est nouveau

Comme le dit le proverbe "Parlez de moi en bien, parler de moi en mal, mais en tout cas parlez de moi" ... Il n'y a rien de pire que l'indifférence, et ce n'est jamais le cas lorsqu'on parle d'une Citroën.

La reprise de l'appelation DS ça excite les passions de chacun (personne j'aime beaucoup) mais ça durera un temps.
On en reparlera dans un an avec la commercialisation de la DS3 puis la polémique sera totallement oublier au lancement des DS4 et DS5 ...

Sur un Forum, j'ai lu un post d'un internaute qui répondait à la polémique en disant "Renault a bien fait une Twingo 2 qui n'a rien a voir avec la bonne bouille 1ère génération" ... Ils ont voulu profité du capital sympathie de la 1ère (avec le temps je suis passé de -je déteste le Twingo à j'adore -) pour un modèle concensuel qui n'a rien à voir avec la première hormis la taille.

La polémique aurait été moins grande pour l'appelation DS si Citroën l'avait donné à la C6 à son lancement ...

[C-VS]

+1 le nom Picasso avait fait bondir à l'époque (en 1999, pas en 2001), comme celui récemment de MiTo Et je pense aussi aux journaleux à deux balles qui à l'époque se moquaient du nom Mégane...

On leur a dit pourtant que ce n'était pas une Nouvelle DS. Mais les journalistes se précipitent sans savoir et les gens croient tout ce qu'on leur dit sans vérifier les sources.

Moi on me dirait dans deux jours on présente la voiture qui m'a fait rêver étant gamin, je jubile mais je vais aussi voir dans d'autres endroits pour confirmer les premières sources...Ca évite de jolies désillusions.

Et puis on oublie la DS5, qui si elle est un Coupé, pourra reprendre des "formes" de la DS Mais le retour de l'original NON! Qu'elle ne soit pas souillée par un remake foireux à la Fiat 500, avec justes des grosses jantes pour faire style c'est nouveau

Comme le dit le proverbe "Parlez de moi en bien, parler de moi en mal, mais en tout cas parlez de moi" ... Il n'y a rien de pire que l'indifférence, et ce n'est jamais le cas lorsqu'on parle d'une Citroën.

La reprise de l'appelation DS ça excite les passions de chacun (personne j'aime beaucoup) mais ça durera un temps.
On en reparlera dans un an avec la commercialisation de la DS3 puis la polémique sera totallement oublier au lancement des DS4 et DS5 ...

Sur un Forum, j'ai lu un post d'un internaute qui répondait à la polémique en disant "Renault a bien fait une Twingo 2 qui n'a rien a voir avec la bonne bouille 1ère génération" ... Ils ont voulu profité du capital sympathie de la 1ère (avec le temps je suis passé de -je déteste le Twingo à j'adore -) pour un modèle concensuel qui n'a rien à voir avec la première hormis la taille.

La polémique aurait été moins grande pour l'appelation DS si Citroën l'avait donné à la C6 à son lancement ...

Oui j'ai lu ça aussi dans un article et il disait meme que d'ici un an pour la sorti de la DS3 peu de monde y penseraient encore.

[Tourer 59]

du niveau de la C5 au point de vu sonore
avec une belle gamme de couleur et de personnalisations possible

++
°pour les couleurs et personnalisations c'est bon on sait ne nombre dans la section DS3

[Le-Flo]

du niveau de la C5 au point de vu sonore
avec une belle gamme de couleur et de personnalisations possible

++
°pour les couleurs et personnalisations c'est bon on sait ne nombre dans la section DS3

yaisse

[Invité]

« Comme indiqué, la Citroën a changé son identité de marque, et la Citroën Sport va changer, comme il sera appelé le Racing de la Citroen Rallye de Chypre.

Parmi les fans dévoués, il ya beaucoup de spéculations sur ce que mai est le tout nouveau S2000, si elle existe encore, voici un fabuleux travail de la spéculation qu'il mai être la nouvelle S2000 de Citroën, par Mathieu Boldo . »

Source : autosport.aeiou.pt – 08/02/2009

[Invité]

http://www.lefigaro.fr/societes/2009/02/09/04015-20090209ARTFIG00018-l-etat-avance-6milliards-pour-sauver-l-automobile-.php?mode=imprimer

[Invité]

http://www.lefigaro.fr/societes/2009/02/09/04015-20090209ARTFIG00225-psa-finit-par-accepter-des-contreparties-.php?mode=imprimer

[Invité]

PSA Peugeot Citroën a annoncé le redéploiement de 500 salariés des usines de Sochaux, Mulhouse, Poissy, Rennes, Tremery et Aulnay-sous-Bois sur son site de Vesoul, pour une durée minimale de trois mois.
Les effectifs du centre mondial de logistique et de pièces de rechange du constructeur vont ainsi passer de 3 300 à 3 800 personnes.
Installé en Haute-Saône depuis près de cinquante ans, le site PSA de Vesoul est le premier employeur privé du département.

Source : TRIBUNE / CCFA - 09/02/2009

[Tourer 59]

Les raisons en sont?

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