Re: [SUJET OFFICIEL] Le monde auto

[Art]

Ces deux SUV (Evoque et Murano) sont parfaitement hideux sans toit.

[tusman]

Tu fait bien d'en parler POLO (Bien sur ,comme d'hab ,je signale de qui vient l'idée sur les sites comme WS) mais je voit que certaines de mes créations sont reprise un peu partout sur le net ,mais aussi dans la presse ,quoi faire ?

[tusman]

Et l'Hypnos Art ?

[Art]

Sceptique... Une base massive pour un montant de pare-brise si fin et une ligne de toit aussi profilée capotée, je trouve qu'on a deux styles trop antagonistes.

[Art]

merci Tus ! vite fait certe , mais suffisament eloquent pour voir
qu elle aurait enterrée tous les evoques et autres Murena decouvrable...

je l ai toujours dit , cette Hypnos aurait été la SM des Suv !

Je préfère une Murena à une Murano.

[tusman]

T'est dur c'était juste une petite faute de frappe

Ton avis sur l'Hypnos c m'intéresse ,quand pense tu ?

[POLO6]

oui Murano ! enfin c est vrai que ça peut surprendre des SUV decapotables , mais vu l engouement , c est pas impossible que ça devienne un reel succes ! il sagit d etre pret à defaut d etre le premier

[tusman]

C'est la que le bas blesse ,Citroën = innovation ... ok la je suis plus à la page

[POLO6]

Tus quand je parlais de droit d idées c etait en especes sonnante et
trebuchantes .trouve toi un manager !

[tusman]

Ca existe sa à mon niveau ? moi aussi je parlait d'espèces (elles serait bien venues en ce moment ) Plus sérieusement ,je ne connais rien dans ce monde ...

Si quelqu'un peut m' aiguillé ...

[Invité]

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[tusman]

Merci François je vais étudier ça

[Art]

T'est dur c'était juste une petite faute de frappe

Ton avis sur l'Hypnos c m'intéresse ,quand pense tu ?

En règle générale, je ne suis pas friand des voitures avec une ceinture de caisse trop haute.

L'Hypnos est un peu victime de ça, alors qu'avec le petit décrochage de l'aile arrière et le prolongement de la custode sur la DS5, on obtient une ligne plus aérée.

Pour moi, un cabriolet doit être un véhicule fin, élégant, et "féminin".

[C-vava]

un cabriolet féminin il y a peugeot
Citroën fait plus viril

Hier j'ai essayé une C4 coupé VTS 110 cv, je ne l'ai pas trouvée plus nerveuse que ma C4II 90cv est ce normal ou le moteur ou turbo était fatigué?

[Art]

C'est normal, le 92ch marche très fort.

C'est marrant, c'est la première fois que j'entends l'association Citroën-Virilité.

Amusant pour une marque qui empoche régulièrement le trophée de la marque Gay.

Pour revenir aux clichés plus haut, je trouve que la C5 ferait un magnifique cabrio!

[C-vava]

Attends je trouve une C5, une C4 même l'ancienne , et les DS plus viriles que les peugeot correspondant

[yeap]

de toutes façons, il n'y a que les Citroën qui ont des boules

[tusman]

Ah je croyais que c'était des chevrons

[POLO6]

Kia K9, c'est officiel


Le constructeur coréen lève le voile sur sa nouvelle berline K9, dédiée pour l'heure au marché coréen.








Il y a une quinzaine de jours, Kia révélait les premiers croquis de son futur vaisseau amiral
au nom de code "KH". Nous découvrons aujourd'hui les premières photos
officielles de la Coréenne, qui se dénomme finalement "K9". La voiture
sera lancée dès l'été sur son marché national et viendra compléter la
gamme "K" déjà composée des K5 (Optima) et K7 (Cadenza).

Esthétiquement,
chacun se fera sa propre opinion, mais les ressemblances avec une
certaine BMW Série 7 sont présentes à l'arrière. Découvrez la galerie de photos ci-dessous!

Techniquement, la Kia K9 est la première propulsion de la marque, inspirée par le concept-car GT dévoilé au salon de Francfort 2011.



Une technique de Genesis


Kia ne communique pas sur les données techniques de sa nouveauté,
mais tout laisse à penser qu'elle reprendra les motorisations de la
Genesis: 3.8 litres V6 de 333 chevaux, ainsi que deux V8 4.6 litres de
385 chevaux et 5.0 litres de 429 chevaux.

Quand on voit la fiche technique et surtout les moteurs , et meme si bien sur comme toujours ce sera pas la majorité des ventes , on peut dire que Kia se donne les moyens pour son premier tres haut de gamme.
Un super V6 et deux V8 ! dire que chez PSA c etait juste un V6
depassé qui servait à chaque fois pour le Haut de gamme ! et bien
moi je dis qui ne suis pas fan de cette marque ! mais s ils reussissent
et il y des chances ,ntamment en Chine ou Citroen espere se faire une
place dans le premium , et bien ils l auront largement merité...

[C-vava]

Bmw va être content.

[Invité]

En Chine la voiture de Mao se réveille



Elle sera fabriquée à 30.000 exemplaires dès l'année prochaine et sera la voiture officielle des ministres.

La HongQi H7 (C131) est une voiture chinoise produite par le groupe FAW. Avant de venir à cette sympathique voiture, faisons un petit rappel sur ce qu'est la firme HongQi. Là-bas, HongQi (le "Drapeau Rouge" en Chinois), c'est la marque des voitures des membres officiels du Parti Communiste, l'équivalent moderne des ZIL et des Volga de l'ex-URSS. Autrefois, la HongQi, un dérivé de ZIL 117, elle-même lorgnant sans vergogne sur les Lincoln américaines.



L'intérieur est l'épreuve de vérité. Audi notamment a fait de ses critères des références sur le marché du haut de gamme. HongQi joue dessus, qui sait peut-être au même niveau, mais avec un peu plus de kitsch : les placages en ronce de plastique rappellent les années 90. Cette place, qu'elle soit dévolue à un chauffeur ou à l'appartchik même, reste enviable : cuir, accoudoir, ordinateur de bord, boitoto, et un agréable contraste noir-beige, la HongQi sait recevoir.

[C-Benjamin]

La nouvelle Ferrari F12 berlinetta est magnique

[Art]

On sent bien l'inspiration...

[Invité]

J'ai conduit la Peugeot 208
Héritière d'une lignée qui a produit plus de 15 millions de Peugeot, la 208 sera disponible le 29 mars. Stratégique, elle représente 40 % des ventes de la marque. Nous l'avons essayée en exclusivité.



C'est la première d'une série de grandes nouveautés Peugeot qui vont surgir dans les six mois. Nous voulons signifier avec la 208 la montée en gamme et l'accélération de notre stratégie." Quelques jours après l'annonce de la collaboration entre GM et PSA Peugeot Citroën, la déclaration de Vincent Rambaud, directeur de Peugeot, résonne bizarrement. Comme si le constructeur de Sochaux voulait se convaincre que rien n'a changé et que la vie future ne doit pas grand-chose à cette curieuse alliance avec l'américain. Dépeceur de marques, celui-ci s'apprête sans doute à fermer des usines de sa division européenne Opel après avoir abandonné Saab et quelques marques outre-Atlantique qui, il est vrai, n'étaient plus que des "badges cars".

Que vient faire PSA sur ce bateau ? On est curieux de le découvrir, surtout lorsque Alain Tranzer, le directeur du projet A9, nom de code de la 208, confie : "Les Américains se sont montrés intéressés par la façon dont nous avons conçu une voiture très nouvelle, à l'architecture allégée de 110 kg, tout en conservant bon nombre d'éléments communs avec la 207 (voir vidéo)." On peut le comprendre lorsqu'on sait à quel point les Américains sont mauvais en matière d'exploitation des structures. Ils dilapident sans vergogne l'habitabilité pour faire des voitures grandes à l'extérieur et petites à l'intérieur. La 208 a dû les laisser pantois, car c'est, techniquement, tout le contraire de ce qu'ils font lorsqu'ils ne pillent pas les bases fournies par Daewoo.

De notre envoyé spécial à Cascais (Portugal), Jacques Chevalier






Le Point.fr - Publié le 13/03/2012 à 18:07 - Modifié le 13/03/2012 à 19:08

[Invité]

J'ai conduit la Peugeot 208 (suite)
Le projet.

Vue jusque-là sur des stands de salons, la 208 confirme, sous le soleil portugais, les très bonnes impressions laissées jusqu'à présent. Moins démonstrative et pataude que la 207, elle est beaucoup plus élitiste, affichant par de nombreux détails un standing que l'on voit habituellement dans la catégorie supérieure, et encore plutôt de l'autre côté du Rhin. Disons-le tout net, avec ses chromes soulignant les lignes là où il faut, ses surfaces habilement modelées et une robe taillée au plus près du corps technique, elle paraît avoir suivi un régime Dukan. La mauvaise graisse, celle qui avait été accumulée là au nom du "si c'est lourd, c'est meilleur", a été impitoyablement traquée. Merci à la réglementation sur les émissions de CO2, car c'est bien elle qui a mis fin à l'enflure permanente des carrosseries.

Une voiture lourde est une voiture qui consomme, et donc qui pollue. La menace de pénalités sur ces modèles a en effet incité les constructeurs à réviser leur façon de faire et à reconsidérer forme, fonction et poids de chaque pièce. Bilan, en reprenant une plate-forme de 207 qui facilite l'industrialisation sur les mêmes chaînes, mais en révisant tous ses composants, Peugeot gratte plus d'un quintal et même 130 kg sur la version à 3 cylindres. Cela dégage des économies en achat de matières premières, d'autres à l'usage, ce qui bénéficie au final au client. Tous les diesels se trouvent ainsi en dessous de 100 g de CO2. En fait, de 87 à 99 g, soit de 3,4 à 3,8 l de consommation moyenne, ce qui est remarquable. La plus puissante des essences est à 135 g pour 155 chevaux. À 11 950 euros, prix de départ, et à 17 à 18 000 euros, pour un bon coeur de gamme, la 208 pose surtout un postulat que l'on attendait d'Audi ou de Volkswagen, ajouter une grosse pincée de standing dans ce segment B des compactes.

Sans le dire, l'expérience de la gamme DS chez Citroën a servi à la 208, où l'on a poussé plus loin encore la traque aux coûts. Les achats multipliés en volume permettent de cesser de surdimensionner les pièces en fonction de la version la plus puissante. Ainsi, les 208 disposent d'un train avant de C3, alors que la GTI sera la seule à reprendre le dispositif plus costaud de la 207. Il est également utilisé par le monospace C3 Picasso. Alain Tranzer le dit, trois trains peuvent être montés indifféremment sur la même plate-forme. Mieux, une boîte à six vitesses n'est pas systématiquement retenue quand une à 5 vitesses suffit. Bref, PSA semble avoir déjà appliqué à la 208 les méthodes qu'il devrait un jour partager avec GM, celui-ci lui apportant la puissance de ses volumes d'achats auprès des fournisseurs.

Au volant
Passer aux commandes de la 208 implique sa petite révolution. Le volant est ovale (328 mm de haut et 350 mm de large, au lieu de 380 mm avant), s'ajuste dans les deux sens, mais se situe beaucoup plus bas qu'à l'accoutumée afin de passer la console d'instruments par-dessus. Il faut donc abaisser, pour les plus grands, le siège tout en évitant de masquer les compteurs. Il y a là une géométrie dans l'espace qui perturbe les sens au début. On finit par l'accepter assez vite, le haut du volant se superposant avec le bas des compteurs, où il n'y a aucune information essentielle. En revanche, la sensation suggère le sport et cela se ressent dès les premiers tours de roue avec une direction communicative, très directe (2 tours trois quarts) et pourtant très bien centrée en tenue de cap. Le rappel en ligne droite est même ferme, mais un mouvement de baïonnette très sec - cas type d'un évitement d'obstacle - s'effectue en toute sérénité.

Réputée pour sa dynamique routière, la famille avait perdu au fil des générations cet avantage, la 207 ayant beaucoup grossi (1 160 kg, contre 880 kg à la 205). Dans le même temps, ses rivales, Ford Fiesta et VW Polo, ont comblé leur retard. La 208, très allégée et avec ses porte à faux réduits, retrouve cette agilité si communicative, cette réponse quasi immédiate au coup de volant et à la mise en appui. Le diesel, plus lourd, marque un peu d'inertie, mais, dans les deux cas, le train avant emprunté à la C3 remplit fort bien son office.

Les moteurs que nous avons pu essayer n'étaient pas tous sortis du rodage et, paradoxalement, les 115 chevaux diesel et 120 chevaux essence nous ont paru quelque peu anesthésiés par des transmissions allongées. Grâce à son couple et à un rapport supplémentaire sur sa boîte 6, la première s'en sort tout de même mieux. Les temps d'accélération avancés par Peugeot indiquent que les choses devraient s'arranger avec un supplément de kilomètres. Nous le croyons, car deux contre-essais le lendemain, un HDI encore, mais en version 95 chevaux et surtout le tout nouveau petit trois-cylindres essence PSA de 1,2 l et 84 chevaux nous ont épatés par leur allant.

En dépit des boîtes à cinq vitesses, les deux voitures font presque jeu égal dans des styles pourtant bien différents. Le diesel, plus généreux en couple et en reprises, mais se faisant entendre, bénéficie du stop & start en série. Le trois-cylindres essence mélodieux, entraînant et parfaitement à la hauteur d'une 208 revenue en dessous de la tonne, va réjouir le personnel de Tremery, l'usine de Charleville qui l'assemble et le livrera à partir de juin. Plus léger de 25 kg qu'un quatre-cylindres, il réduit naturellement les frictions internes de 30 % et va piétiner les plates-bandes du diesel. C'est une réussite qui se déclinera à minima sur une version de 68 chevaux et 1 l, avant de bonifier plus tard en passant au turbo et à l'injection directe. Le formidable trois-cylindres Ford Ecoboost trouvera alors peut-être une réplique de choix.

Rivée au sol avec une tenue de route exemplaire et même un peu trop pour ceux qui aiment piloter, la 208 a le bon goût de ménager ses occupants. Les sièges avant sont excellents, calent bien en latéral, mais il manque un appui lombaire pour le conducteur. Pour le reste, l'habitacle volontiers souligné de touches chrome satiné, la présentation attrayante et la finition soignée sur les versions milieu et haut de gamme que nous avons vues font inévitablement penser à Audi, en mieux au moins pour le design. Un vaste écran central, rassemblant toutes les fonctions communicantes (dès le deuxième niveau), occupera ceux qui s'ennuient au volant. Ils pourront même télécharger des applications sur le Peugeot store, il y en a une vingtaine pour le moment. Les prix, enfin, se révèlent très agressifs et pourraient rebattre les cartes du segment B en France, où viendra se frotter, à la rentrée, la nouvelle Renault Clio.

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