[INFORMATION] Tavares: déclarations, nouvelles orientations

[Invité]

Carlos Tavares a profité du salon de Genève, sans attendre la mi-avril, pour déjà donner de nouvelles orientations au Groupe PSA. Ci-joint un article extrait du Figaro que l'on retrouve sur d'autres sites.

Carlos Tavares révise déjà la stratégie de PSA

L'usine en périphérie de l'Europe n'est plus une priorité pour le nouveau patron opérationnel du constructeur.

"Pour l'instant, la construction d'une nouvelle usine à la périphérie de l'Europe n'est pas sur la table, ni à court, ni à moyen terme.» D'une phrase, Carlos Tavares, nouveau patron opérationnel de PSA Peugeot Citroën, a fait entendre sa différence au salon automobile de Genève mardi.
Les équipes de Philippe Varin, encore président du directoire jusqu'au 31 mars, étaient jusqu'à présent très claires sur l'utilisation d'une partie des 3 milliards d'euros qui doivent être levés auprès du chinois Dongfeng, de l'État français et du marché. Une des priorités était de construire une nouvelle usine, en périphérie de l'Europe, afin de bénéficier d'une main-d'œuvre à bas coût. En quelque sorte, reproduire ce qu'a réussi Renault avec son usine de Tanger au Maroc.
Ce programme n'est visiblement pas du goût du nouveau patron. «Nous avons des usines qui ne sont pas saturées aujourd'hui et il faut d'abord penser à les remplir», a précisé Carlos Tavares. Tranava, en Slovaquie, tourne en effet à un peu plus de 70% de ses capacités et Vigo, en Espagne, à 60%.


Augmenter la production ne sera cependant pas suffisant
La Citroën C-Élysées et la Peugeot 301, assemblées à Vigo et destinées aux marchés émergents, ne dégagent que des marges très faibles. Les usines de PSA doivent donc «améliorer leur efficience». Après en avoir visité sept ces dernières semaines, Carlos Tavares estime qu'il y a «un énorme potentiel au niveau industriel». ­Prudent, il précise même que ce levier d'amélioration est «indépendant du niveau des effectifs».

Ce changement de priorité s'explique aussi par la volonté de préserver les ressources financières de PSA, que Carlos Tavares reconnaît «limitées». Sa priorité n'est donc pas d'utiliser rapidement l'argent qui sera levé mais bien de retrouver le chemin de la rentabilité. «Si nous ne devenons pas rentables, nous nous serons contentés d'acheter du temps avec l'augmentation de capital», reconnaît le nouvel homme fort du constructeur français.

Guerre des prix
PSA doit donc pouvoir construire des voitures que «les consommateurs veulent acheter». Objectif: sortir d'un marché européen très concurrentiel et ravagé par la véritable guerre des prix. Toujours guidé par la volonté de dépenser judicieusement l'argent, Carlos Tavares considère qu'il faut «allouer plus de ressources pour rendre les modèles stratégiques attractifs». Quitte à proposer moins de modèles différents.
Dès le mois prochain, il donnera des précisions sur les arbitrages faits au niveau des produits et des allocations par usine. Là aussi, il faudra rationaliser, notamment cesser de mettre en concurrence frontale les deux marques du groupe.
Carlos Tavares a ainsi regretté que l'usine russe de Kaluga assemble une Citroën et une ­Peugeot positionnées de manière quasiment identique.

[Invité]

Autre article, dans Les Echos, sur les mêmes orientations de Carlos Tavares,

PSA : Tavares veut mettre fin à la stratégie de la « chevrotine »
Par Ingrid François | 05/03 | 06:00

Le futur patron de PSA veut se concentrer sur quelques véhicules ciblés. Le projet d'usine aux portes de l'Europe n'est pas d'actualité.
Carlos Tavares ne s'est pas trompé de stand hier, pour sa première apparition sous les couleurs de PSA au Salon automobile. C'est, évidemment, sur celui de Citroën que l'ex-dirigeant de Renault a donné les grandes lignes du plan stratégique attendu pour la mi-avril.
Le défi est de taille : le constructeur français doit retrouver rapidement de la rentabilité, alors que l'Europe, son principal marché, ne devrait se redresser que très lentement et qu'il ne dégage que de faibles dividendes de la Chine. Ses implantations en Russie et en Amérique latine ne parviennent pas à trouver l'équilibre.
Le futur patron de PSA a insisté sur la nécessité de mieux concentrer les moyens sur quelques véhicules ciblés. « Il faut faire un nom bre limité de voitures, mais qui sont demandées, a-t-il déclaré. C'est la différence entre une stratégie concentrée et une stratégie de chevrotine. » Si l'on prolonge la métaphore, PSA aurait intérêt, selon lui, à tirer moins de cartouches, mais qui touchent mieux leurs cibles.

« Excès d'optimisme » en Russie
Pour appuyer sa démonstration, le dirigeant a pris l'exemple de la Russie : « Dans cette zone, nous avons 25 voitures sur un marché où une petite dizaine serait largement suffisante. » Les résultats sur ce marché sont très en dessous des attentes. Dans l'usine de Kaluga, inaugurée en 2010, Peugeot et Citroën n'ont assemblé que 21.800 voitures l'an dernier pour une capacité proche de 100.000 véhicules !
« A Kaluga, il y a eu de temps en temps un excès d'optimisme ou de naïveté sur les volumes attendus. De plus, nous fabriquons en Russie deux voitures de segment C qui se regardent en chiens de faïence. Il aurait été préférable d'avoir un crossover et une berline, c'est du bon sens », a estimé Carlos Tavares. Selon lui, il faut également accroître le degré d'intégration locale pour se prémunir davantage des effets de change.
Concernant l'Europe, PSA ne devrait pas annoncer dans l'immédiat de nouvelles restructurations, après avoir déjà confirmé le passage en une ligne de Mulhouse et Poissy. « Le plan d'économies de 1,5 milliard d'euros est suffisant pour l'instant », a assuré Carlos Tavares, sans s'avancer au-delà de 2016.
Quant au projet d'usine aux portes de l'Europe, il n'est visiblement pas d'actualité, du moins pour l'instant. « Ce n'est pas du tout sur la table pour le court ou le moyen terme. Notre priorité est de saturer les usines et d'améliorer leur efficience. »
In. F., Les Echos

[C-vava]

Entendu hier soir, vu sur la TV
Sur le stand PSA Carlos Tavares main dans ma main avec Thierry Peugeot.
Ça ne m'enchante pas beaucoup   
On parle parle beaucoup de peugeot au salon en montrant la 108 (pas la C1) et la 308 élue voiture de l'année (ce qui ne représente plus rien à notre époque et n'est plus vendeur)

[Invité]

PSA: Carolos Tavares ne veut pas vendre Faurecia et je rajoute, c'est une bonne chose.
(Extrait de Reuters et du Figaro)


Le futur président du directoire de PSA Peugeot Citroën, a déclaré qu'une vente de Faurecia ne contribuerait pas à la stratégie du groupe automobile visant à améliorer sa profitabilité.
Prié de dire, au cours d'un entretien organisé par 7 publication de magazines Auto en collaboration avec Reuters, pourquoi le constructeur ne cédait pas tout ou partie des 51,7% qu'il détient dans l'équipementier automobile, Carlos Tavares a répondu : "Parce que c'est du cash, pas de la profitabilité."
"Il y a une grande différence entre mettre du cash à la banque et générer un bénéfice", a-t-il ajouté. "S'il est vrai que nous avons besoin de cash pour protéger l'avenir (...) l'avenir sera seulement protégé si, après le cash, nous générons de la profitabilité.".

[Invité]

Bonjour, M. Carlos Tavares est à partir d'aujourd'hui à la tête de PSA. En attendant ces orientations qu'il doit présenter à la presse vers le 15 avril, voici les 8 grands points qu'il va avoir à traiter et surtout à gagner pour sauver PSA. Le partenariat avec Dongfeng ne règle qu'une partie des problèmes de PSA, ouvre des possibilités mais ne règle en rien son avenir surtout financier et surtout sa position vis à vis de son nouveau partenaire.
Pour présenter ce vaste programme, ci-dessous, un très bon article du monde d'aujourd'hui 31 avril 2014. Je me suis permis de souligner quelques points qui me paressaient cruciaux et possibles sujets à débat. Bonne lecture.

Les huit travaux de Carlos Tavares à la tête de PSA

LE MONDE | 31.03.2014 à 11h22 • Mis à jour le 31.03.2014 à 11h55.

Carlos Tavares a pris, lundi 31 mars, la présidence du directoire du groupe automobile français PSA, après quatre mois de présence au siège du constructeur.
Philippe Varin, son prédécesseur, a certes mis en place les conditions de survie à moyen terme de l'entreprise, grâce à une augmentation de capital de 3 milliards d'euros, à l'entrée de l'Etat et du constructeur chinois Dongfeng dans son capital et à l'adossement de Banque PSA Finance, sa filiale, à la banque espagnole Santander.
Depuis plusieurs semaines, 120 personnes travaillent à l'élaboration du nouveau plan stratégique « Back in the Race » (« Revenir dans la course »), qui sera dévoilé le 14 avril. M. Tavares doit ouvrir de nombreux chantiers pour sortir PSA de l'ornière. Tour d'horizon.

    •    Retrouver des marges de manœuvre financières
En premier lieu, M. Tavares doit rétablir la rentabilité d'un groupe dans le rouge depuis 2009. A court terme, les mesures décidées par Philippe Varin vont l'aider. L'injection de liquidités va permettre de désendetter le groupe – dont le montant s'établit à 4,15 milliards d'euros – et de réduire ses frais financiers. Mais cela sera insuffisant.

    •    Réduire les coûts fixes
Philippe Varin a lancé un plan drastique de restructuration, qui s'est déjà traduit par la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et le départ de plus de 8 000 salariés. Il a signé avec les syndicats un plan de compétitivité sur lequel Carlos Tavares peut s'appuyer.
Mais le nouveau patron va devoir aller plus loin s'il veut générer du « cash », son obsession. « Pour être compétitif, il faut être meilleur que la concurrence », a-t-il l'habitude de dire. Cela ne signifie pas qu'il aura les yeux uniquement rivés sur les indicateurs de compétitivité… A ses cadres, il a récemment confié qu'il ne les payait pas en indicateurs, mais en euros…
Carlos Tavares devra jouer sur tous les leviers : baisser le stock de voitures, réduire les frais de structures du groupe ou les dépenses commerciales et marketing, revisiter les priorités du service de recherche et développement… Avec un objectif : revenir enfin à un flux de trésorerie disponible bien plus tôt que 2016, comme prévu initialement.

    •    Améliorer la compétitivité des usines
Si des efforts importants ont été engagés dans les usines, le PDG compte appliquer le plan de compétitivité négocié avec les syndicats : mise en place d'une seule ligne de production à Poissy (Yvelines) et Mulhouse (Haut-Rhin).
Il veut rendre plus efficient chacun des sept sites européens du groupe. L'hypothèse d'une nouvelle usine en périphérie de l'Europe ne semble plus à l'ordre du jour. « Quand on a des capacités disponibles, pas besoin d'un site de plus. C'est une question de bon sens », expliquait-t-il au Salon automobile de Genève, en Suisse, début mars.

    •    Poursuivre la différenciation des marques
Philippe Varin a amorcé la différenciation des trois marques Peugeot, Citroën et désormais DS. Carlos Tavares devra l'approfondir.
Si les nouveaux modèles Peugeot témoignent du repositionnement moyen-haut de gamme du Lion, cela devra aussi se traduire dans ses résultats financiers.
Pour Citroën, Carlos Tavares va inaugurer la nouvelle identité – plus simple et abordable – de la marque aux Chevrons avec le lancement de la C4 Cactus.
Enfin, pour DS, alors que trois nouveaux modèles seront rapidement proposés en Chine, dont un faux 4 × 4 urbain, il est urgent de préparer la suite de l'histoire en Europe. Seules trois DS (3, 4 et 5) y sont commercialisées aujourd'hui.

    •    Revoir l'offre de chaque marque
Ce fan de course automobile, qui a fait ses classes chez Renault, aura à cœur de mettre au défi ses ingénieurs. A Genève, il estimait qu'il fallait « arrêter avec la politique de la chevrotine », c'est-à-dire l'élargissement sans cesse de l'offre, qui entraîne de nombreux surcoûts. Dès février, il assurait qu'il valait mieux se concentrer sur quelques modèles excellents.

    •    Repartir en Europe
Alors que le marché européen se stabilise enfin après un plongeon de six ans, PSA doit retrouver ses positions en Europe bien au-dessus des 11,8 % de part de marché actuels.
Avec la 2008 et la 308 de Peugeot ou la gamme C de Citroën, et les prochains lancements des 108 et C1, il dispose d'un socle solide pour regagner les parts de marché cédées ces dernières années à la concurrence.
La rentabilité du groupe passera par une meilleure performance en Europe, où il vend encore 58 % de ses véhicules. La clé pour gagner de l'argent sur le Vieux Continent ? « Il faut avoir des produits que les gens veulent », reconnaît le dirigeant. Et saturer ses usines.

    •    Accélérer à l'international
En Chine, le travail de Philippe Varin a mené au doublement des ventes (550 000 unités écoulées en cinq ans), à une meilleure rentabilité et à une nouvelle dynamique.
Le nouvel accord industriel signé avec Dongfeng doit permettre d'accélérer son développement dans l'empire du Milieu et son expansion en Asie du Sud-Est, où il vend à peine 30 000 véhicules par an, voire en Russie et au Brésil.
Dans ces deux pays, l'urgence sera d'abord d'arrêter d'y perdre de l'argent. La première décision importante de Carlos Tavares pour s'y relancer sera de nommer des cadres locaux, qui connaissent bien leur marché. C'est primordial aux yeux de Carlos Tavares pour y déployer la gamme la plus adaptée.
Ensuite, il entend améliorer l'organisation des usines de production et s'appuyer sur des fournisseurs locaux. Enfin, il devra donner à moyen terme des objectifs de croissance du groupe sur les autres marchés émergents.

    •    Préparer l'avenir
Les moyens de PSA étant limités, le nouveau président du directoire devra faire des choix, du développement de l'hybride rechargeable à celui de la voiture connectée.
Par ailleurs, le partenariat avec Dongfeng va permettre de passer un cap pour élaborer des voitures à bas coût. En travaillant avec son partenaire à développer la marque Fengshen, PSA pourra, après l'Asie, envisager d'autres marchés.
Si M. Varin a lancé de nombreux chantiers, M. Tavares devra vite obtenir des résultats tout en donnant sa propre dynamique au groupe. C'est à ce prix que PSA retrouvera son rang.

[Invité]

à Lisbonne, Mr C.T. a déclaré  "Nous avons déjà des surcapacités dans nos usines et devons accélérer l'amélioration de leur efficacité". En ajoutant que  "nous avons l'ambition de devenir le premier groupe automobile au Portugal"
PSA automobiles  est actuellement numéro deux au Portugal, avec une part de marché d'environ 16%, derrière "Voiture du peuple".

Avec un salaire de base à 500€, que peuvent trouver nos amis portugais d'intéressant et de nouveau dans le catalogue PSA ? le 2008, le Cactus, le prochain C3 Pic ?  la 301, la C Elysée?

C.T. doit dévoiler en France le 14 avril un nouveau plan stratégique intitulé back in the race, qui courra jusqu'en 2016.
un plan sur 2 ans , c'est court pour de la stratégie dans le secteur auto; il en existe déjà un à voir sur le site de PSA qui court jusqu'en 2018
il est clair que Mr Varin a bien préparé l'avenir du groupe, et que son successeur a trouvé, en R&D et dans les centres d'essais, les moyens de son ambition pour le groupe.

[Invité]

j'ajoute que les déclarations du Boss de PSA peuvent être traduites ainsi:
on va fabriquer en Europe les modèles qu'on y vend, et arrêter de vendre en Europe les modèles qu'on n'y fabrique pas .
Donc, remaniement, et quels véhicules sortent du catalogue Mr le Président ?
les 4 Mitsu ?

[Invité]

j'ajoute que les déclarations du Boss de PSA peuvent être traduites ainsi:
on va fabriquer en Europe les modèles qu'on y vend, et arrêter de vendre en Europe les modèles qu'on n'y fabrique pas .
Donc, remaniement, et quels véhicules sortent du catalogue Mr le Président ?
les 4 Mitsu ?

On a pas du lire les mêmes déclarations de M. Tavarès....

[STEPPE 91]

Il faut laisser le temps d annoncer son plan.
D ailleurs , Cforum est invite a la conference du 14.
Peut etre pourrons nous poser quelques une de vos questions.
Nous vous proposons de les poser ici.
Il faut qu elles soient concises.
A vos questions !

[Invité]

Question à M. Tavares:
1ère question:
PSA n'a pas de transmission 4x4 à son catalogue, hors les marchés comme la Chine, la Russie, le Brésil et l'Afrique sont demandeurs de véhicules pouvant offrir une transmission soit 4x2, soit 4x4.
PSA va-t-il développer avec Dongfeng ce type de transmission et assurer ainsi son autonomie dans le domaine?

2ème question
PSA et Dongfeng vont-ils développer ensemble des boites de vitesses automatiques modernes à double embrayage?

3ème question?
Les nouveaux modèles Citroën fabriqués avec Dongfeng et distribués en Chine seront-ils à vocation mondiale ou spécifiques pour le marché Chinois?

[Invité]

revisiter les priorités du service de recherche et développement…
 
Il veut rendre plus efficient chacun des sept sites européens du groupe.

Dès février, il assurait qu'il valait mieux se concentrer sur quelques modèles excellents.

La clé pour gagner de l'argent sur le Vieux Continent ? « Il faut avoir des produits que les gens veulent », reconnaît le dirigeant. Et saturer ses usines.

En Chine, il entend améliorer l'organisation des usines de production et s'appuyer sur des fournisseurs locaux.

Les moyens de PSA étant limités, le nouveau président du directoire devra faire des choix, du développement de l'hybride rechargeable à celui de la voiture connectée.

Les priorités du service R&D sont simples: se maintenir dans la course à la mise aux normes Européennes et à l'évolution technologique nécessaire pour respecter ces normes
Si le Général impose de se concentrer sur quelques modèles excellents, il va devoir vider les usines des modèles qui ne le sont pas,  et alors comment fait-il pour saturer les usines sans réduire les emplois ??

[C-vava]

L'arrêt de la course au toujours plus sera t'elle appliquée sur tous les modèles de la gamme C?
Jusqu’à quel segment de véhicule montera la Gamme C?
Un véhicule du rang la C6 aura t il plus vocation à se trouver dans la gamme DS ou pourra t on aussi le retrouver en gamme C avec la philosophie correspondante?
Voila pour mes interrogations

[Invité]

Un  véhicule du rang la C6 aura t il plus vocation à se trouver dans la gamme DS ou pourra t on aussi le retrouver en gamme C avec la philosophie correspondante?   

sans présager de la réponse du Général, l'expérience du HdG Citroen a montré ses limites.
Ds semble être mieux perçu;  DS5 à 24000 unités/an se situe comment par rapport à BMW série 3 ? j'ai lu dans la Tribune 500 000 ! est-ce possible ?
la Porsche 911 à 30 000 unités en 2013 !

[STEPPE 91]

Mais 24000 par an c est deja plus que toutes les c6 produites en 8 ans.

[C-Benjamin]

C'est vrai !

[POLO6]

Comparer la C6 avec les DS5 dont les tarifs et le segment n ont rien a voir est absurde... Et pourtant au pays du HDG  l   'Allemagne laC6 s est plus vendu que la DS5 malgré un prix et une offre moteur sans rapport..La DS5 s est vendu à 55 exemplaires en Allemagne en Mars...Meme la RCZ fait mieux.


Mes questions à M Tavares !

Que signifie moins d offres et quelles modeles seront sacrifiés ?
Est ce pertinent d abandonner l ' hydraulique sur une futur grande DS ?
Est ce tenable pour Citroen Europe de faire le grand écart entre gamme C et DS

[Invité]

D ailleurs , Cforum est invite a la conference du 14.
A vos questions !

Soch025, serait-il possible (pour la seconde fois) de préciser si tes infos sont fiables ou spéculative. merci:jap:

je propose de poser la question au Général le 14 avril  , donc:
Mr Tavarès, Verrons-nous prochainement chez PSA, en remplacement des C0 et ion, une 1008 et une DS2 électriques avec REX moteur 400cm3 de Scooter Peugeot pour une autonomie de 300km, afin d'occuper le créneau crée par la BMWi3 qui connait un bon succès et permettra à BMW de compenser un peu les émissions de CO2 des autres modèles ?

[FDA1]

Réponse de Citroën sur la question d'un bernard en janvier dernier...DS2 électrique avec range extender
Question posée aux directeurs produits + R&D

• 
  
  
  CIT
  
  

Le 20/01/2014 à 09h42

Bonjour Bernard,

nous partageons votre analyse et votre souhait d'avoir ce véhicule dans la gamme Citroën.

Toutefois, ce type de technologie est complexe à industrialiser dans un ensemble véhicule cohérent  (ex : coque en carbone de la BMW i3 pour gagner en légèreté), mais est aussi complexe à vendre/présenter aux Clients non-pionniers.

Sans parler des problèmes d'autonomie des batteries ou des infrastructures de rechargement trop peu nombreuses qui touchent les voitures 100% électriques.

Nous n’avons pas d’informations particulières sur la stratégie de la Marque ou du Groupe, mais il nous semble plus prudent d’observer attentivement le marché global, d’analyser les orientations de masse des consommateurs et d’étudier toutes les possibilités techniques (voire d'en inventer d'autres, ex : HybridAir) avant de se lancer.

C’est d’ailleurs ce qui semble faire défaut aujourd’hui à Renault qui a tout misé sur le 100% électrique bien trop tôt…

Bien cordialement.

L'équipe CITROËN COMMUNITY

[Invité]

• 
  
  il nous semble plus prudent d’observer attentivement le marché global, d’analyser les orientations de masse des consommateurs et d’étudier toutes les possibilités techniques (voire d'en inventer d'autres, ex : HybridAir) avant de se lancer.
  
  

eEn quoi la technologie hybridair ,certes innovante, ressortirait d'une possible orientation de masse en 2016, et pas l'électrique plug in avec REX ? d'autant que PSA a la technologie sans recourir à une structure en carbone qui fait gagner 50kg.
la zoé comme la C0 fait craindre la panne sèche; avec un REX, pas de souci.

Vous dites observer le marché global qui évolue à l'évidence selon ce que propose les constructeurs à un prix attractif, : alors vous regardez le succès de la Prius, et ... la caravane passe ?
 où est le C4 hybrid essence à 25000€ ? 
Le système Hybrid 4 est génial mais à partir de 33k€ en promo actuelle.
Bonne observation !

[magnoliasforever]

Question pour le " directeur":
Est il envisageable que Citroën se démarque de la concurrence ..... en proposant une roue de secours sur tous ses modèles    ? 

[FDA1]

  

[Invité]

Sans vouloir vexer personne, mais je pense que beaucoup non pas pris en compte l'état actuelle des finances de PSA. Le principale chantier sur deux ans et deux c'est très court, va être de mettre les finances à l'état d'équilibre. Actuellement, PSA continue de perdre du cash.
Donc, tous les développements de R&D sont réduits ou gelés et par exemple sur l'hybridAir, PSA cherche un partenaire. Dongfeng semble intéressé par cette technique qui conviendrait mieux au pays en voie de développement en Asie que l'électrique.
La nouvelle direction va privilégier ce qui peut rapporter de l'argent dans le court terme et je ne pense pas que l'électrique rapporte de l'argent dans l'immédiat même à BMW.
Donc, pour les questions, il ne faut pas trop regarder le futur à 5/6ans mais surtout le découpage PSA, Dongfeng et Changuan sans oublier les accords avec Opel et Toyota.
Je peux me tromper,  à vos claviers...

[youyou56]

Que reste il en fait du rapprochement avec GM pour l'avenir ?

[Invité]

Que reste il en fait du rapprochement avec GM pour l'avenir ?

voir http://www.psa-peugeot-citroen.com/fr/groupe-automobile/strategie/psa-gm-alliance

récemment PSA et GM-AVTOVAZ JV (Togliatti, Russie) ont signé le 17 Décembre 2013 une licence permettant d’équiper la nouvelle génération des véhicules Chevrolet Niva avec le vieux moteur essence EC8 de PSA (1,8 litre, 135 ch), moteur qui sera fabriqué dès 12/2015 en Russie par une joint venture indo-russe.

[STEPPE 91]

Encore ce week end pour permettre de poser vos questions !

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