Re: [SUJET OFFICIEL] Partenariat PSA/GM

par **C-vava** Mar 22 Mai 2012 - 12:07

il se fait de plus en plus insistant que des Citroën seront fabriqué par opel et inversement!
Pourquoi? Pourquoi des Citroën et pas des peugeot?

par Ze_British Mar 22 Mai 2012 - 12:40

Je pense que tu as mal compris. Citroën = Peugeot, donc si il y avait des Citroën fabriquées par Opel, ne t'inquiète pas que des Peugeot le seraient aussi

par Bob74 Mar 22 Mai 2012 - 12:51

C-vava a écrit:il se fait de plus en plus insistant que des Citroën seront fabriqué par opel et inversement!
Pourquoi? Pourquoi des Citroën et pas des peugeot?

On parle de Citroën, parce qu'ici, c'est un forum dédié à la marque. Sur des forums Peugeot, je suppose que les quesrions et réponses sont les mêmes concernant leur marque fétiche : pourquoi Peugeot et pas Citroën ?

par Shackler Mar 22 Mai 2012 - 12:54

C-vava a écrit:il se fait de plus en plus insistant que des Citroën seront fabriqué par opel et inversement!
Pourquoi? Pourquoi des Citroën et pas des peugeot?

La question que tu devrais te poser c'est quelles Opels fabriquaient par PSA ? monospace, berline, Astra = non, alors quoi ??

par **C-vava** Sam 26 Mai 2012 - 17:50

Peugeot-Citroën et GM-Opel sous surveillance

L'agence de notation Fitch incite Opel et PSA à fermer des usines dans un communiqué publié hier. De quoi inquiéter sérieusement le nouveau gouvernement.
ans un communiqué publié hier, l'agence Fitch estime que le déclin de la demande et la bataille "féroce" sur les prix "rendent l'environnement compliqué pour les constructeurs automobiles généralistes européens". Selon l'agence, "ils se trouvent confrontés à d'éventuelles fermetures d'usines". Fitch ajoute: "Nous pensons que des fermetures sélectives d'unités de production seraient positives du point de vue des actifs et permettraient des réductions de coût significatives."
L'usine de Bochum menacée

Toujours selon Fitch, la réorganisation de la production des Opel Astra et Zafira alimentent les hypothèses selon lesquelles la filiale de General Motors pourrait fermer son usine de Bochum, en Allemagne, même si elle reconnaît qu'aucune décision n'a été arrêtée.

Fitch estime par ailleurs que des fermetures d'usines "allégeraient la pression que subissent certains constructeurs, dont PSA Peugeot Citroën, Renault et Fiat". L'agence semble par ailleurs craindre que "la nécessaire restructuration" (de l'industrie automobile) ne soit "longue et minutieuse dès lors que la question de la sous-utilisation des capacités n'a pas encore été abordée, contrairement aux États-Unis", ce qui ne fera que freiner tout espoir de gain et de rentabilité.
Des résistances politiques

Pour Fitch, "Opel et PSA se trouvent confrontées immédiatement à ces questions de fermeture". Mais l'agence se demande comment "le nouveau gouvernement socialiste réagirait" à cette perspective : "Nous croyons qu'il y a aura des résistances politiques." Ce n'est plus de la prudence, c'est de l'euphémisme.

par LHM Sam 26 Mai 2012 - 19:07

ha les fameuses agences de notations ... vous savez les mêmes qui certifiaient les produits financiers type subprime AAA juste avant le crac de 2008, et qui osent aujourd'hui la ramener et faire des recommandations ...

par citroNagoya Lun 28 Mai 2012 - 5:27

Quand je regarde le prix actuel des actions de PSA, je me dis que PSA est actuellement vulnerable sur le plan economique.
Officiellement on parle d'Alliance, cependant cette "Alliance" inclut le fait que GM a achete 7% du capital de Peugeot par la meme occasion.

Ce que pensent les financiers americains va influer de plus en plus sur le futur du groupe PSA et de la localisation de sa production.

par **STEPPE 91** Mer 4 Juil 2012 - 20:39

aujour dhui Chevrolet a annonce le retrait du wtcc.

par citroNagoya Jeu 5 Juil 2012 - 5:10

Il est difficile de continuer la participation au WTCC quand on cherche a rendre la boite rentable economiquement.
Supression d'emplois a tour de bras, il est coherent d'arreter la competition.

par **STEPPE 91** Jeu 5 Juil 2012 - 7:49

oui, mais il y a un paradoxe car pour vendre il ne faut trop baisser les depenses piblicitaires.
Cela dit, Hyundai et Kia sont en tres forte progression sans jamais faire de competition.

par **tusman** Jeu 5 Juil 2012 - 8:05

Étonnant comme leur image de Marque a changé alors que pour les véhicules Européen tout reste figé ...

par **STEPPE 91** Jeu 5 Juil 2012 - 8:08

c est la reflexion que je me faisais.Il est vrai aussi que les vehicules ont un tres beau style moderne, loin du cotaud pataud et demode de 10 ans en arriere.

par citroNagoya Jeu 5 Juil 2012 - 8:40

J'aime la competition sous toutes ces formes, mais cela ne determine pas mes achats.
Je regarde plutot le design et la qualite de ce que j'achete.
Meme si j'apprecie la vitesse, les performances me paraissent irrelevante pour des veicules qui n'ont pas le droit de depasser le 130 sur autoroute de toutes les facons.
C'est comme si on essayait de me vendre une cafetiere Turbo qui me sort le cafe en moins d'une seconde.
Quand on achete une belle voiture, vu qu'on passe beaucoup de temps en milieu urbain et ainsi a basse vitesse, voir embouteillage, autant profiter de la qualite des suspensions, la docilite du moteur, la beaute exterieure et interieure...Comme a l'epoque des DS [SUJET OFFICIEL] Partenariat PSA/GM - Page 7 97771

[SUJET OFFICIEL] Partenariat PSA/GM - Page 7 97771

par **C-vava** Jeu 5 Juil 2012 - 12:49

tout à fait la vitesse et la sur puissance c'est une truc de jeune fougueux après ça passe. [SUJET OFFICIEL] Partenariat PSA/GM - Page 7 381541

par **tusman** Ven 6 Juil 2012 - 0:16

Qui peu le plus peu le moins ...

par **C-Addict** Ven 6 Juil 2012 - 10:16

Alliance GM/PSA : à GEFCO la logistique

L’alliance conclue entre PSA et General Motors comporte bien entendu un volet sur le développement de modèles en commun mais également un volet de mutualisation des coûts. L’une des premières décisions concernant ce point est le transfert à long terme de toute la logistique du constructeur américain sur le sol Européen et même au-delà à GEFCO, filiale 100% de PSA.

C’est au moins une bonne nouvelle pour PSA qui en a bien besoin en ces temps de craintes pour l’emploi.
GEFCO filiale 100% (pour l’instant) PSA sera donc désormais en charge de la logistique des marques de PSA auxquelles se rajouteront Opel/Vauxhall, Chevrolet et Cadillac pour toute l’Europe et la Russie.
GEFCO sera responsable de la livraison de matériel et de composants aux différentes usines, le transport de pièces détachées pour le SAV, mais également le transport des véhicules aux concessionnaires.

Philippe Varin, président de PSA déclare : « Cet accord constitue la première étape de notre Alliance stratégique de long terme avec GM. Il permet à Gefco de poursuivre sa stratégie d’élargissement de sa base de clients et de développement de ses activités internationales ». Cet accord pré-senti en en mars entrera en vigueur en 2013.

Du coté du constructeur américain on se réjouit également de cet accord, Steve Girsky, vice-président de GM : « Cet accord représente le premier stade des bénéfices attendus de l’Alliance avec PSA Peugeot Citroën. Cet accord de logistique sera un facteur d’efficacité opérationnelle et de réduction des coûts pour GM, et il nous permettra d’utiliser
pleinement l’expertise de Gefco ».

Cette décision qui augmente l’activité, et donc le chiffre d’affaire, de GEFCO devrait également permettre de lever plus de fond lors de la prochaine ouverture du capital de la filiale de PSA.

Source : Opel, photo : GM/PSA via le blog auto

par citroNagoya Ven 6 Juil 2012 - 10:21

Ce genre de nouvelle + celle de l'annonce de la supression de 6000 emplois est propice a faire rebondir le cours PSA a la bourse dans un certain futur.

par **C-Addict** Ven 6 Juil 2012 - 10:27

L'Etat s'apprête à voler au secours de PSA

Alain-Gabriel Verdevoye | 06/07/2012, 07:30 - 711 mots

PSA Peugeot-Citroën, qui vient d'annoncer des ventes mondiales en chute de 13% au premier semestre, appelle à l'aide. Le gouvernement est prêt à voler à son secours et envisage même une entrée au capital de l'État. Un sauvetage qui se ferait en échange d'engagements sur la production du constructeur dans l'Hexagone.

L'Etat va-t-il prendre une participation dans PSA Peugeot-Citroën ? C'est ce que prône Philippe Bonnin, le coordonnateur du récent livre blanc sur l'automobile qui pourrait bien jouer les "Monsieur bons offices" entre le gouvernement et le constructeur automobile. Et ce, alors que les relations entre Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, et Philippe Varin, président d'un PSA en crise, sont orageuses. Ce dernier appelle en effet les pouvoirs publics à l'aide. Mais, ceux-ci ne sont prêts à voler au secours du groupe automobile que... sous conditions.

Pour un prêt participatif

" Philippe Varin demande un prêt. Si l'Etat engage de l'argent public, il doit inscrire son engagement dans les comptes de l'entreprise", affirme à latribune.fr Philippe Bonnin, homme politique socialiste influent et fin connaisseur de l'industrie automobile, maire de Chartres de Bretagne (banlieue de Rennes) où se situe une usine menacée de PSA, qui a rencontré fin juin le conseiller travaillant sur le dossier de Pierre Moscovici, ministre de l'Economie et des finances, puis mardi dernier celui d'Arnaud Montebourg. «Je suis pour un prêt participatif. Oui à une aide contre une participation au capital. L'Etat américain a bien le tiers de GM. Et le fait que l'Etat allemand de Basse-Saxe détienne 20% de Volkswagen n'empêche pas la prospérité insolente de ce constructeur », insiste Philippe Bonnin.

L'Etat, qui détient par ailleurs 15% de Renault, pourrait donc se retrouver chez PSA avec une participation plus importante que... celle de l'allié américain GM, lequel possède seulement 7% du capital. Le groupe familial Peugeot demeure toujours le premier actionnaire de la firme automobile, avec 25,2% du capital et 37,9% des droits de vote. Une arrivée de l'Etat au capital d'un vieux groupe familial qui s'est toujours farouchement présenté comme le constructeur automobile français privé, par opposition à Renault, constituerait pour le moins une revanche indirecte sur l'histoire de la firme au losange!

Perte d'un milliard d'un semestre

« PSA perd un milliard d'euros par semestre, l'Etat ne peut rester indifférent », souligne Philippe Bonnin, à qui Pierre Moscovici devrait prochainement céder la présidence de... l'Acsia (Association des collectivités sites d'industrie automobile) regroupant les élus territoriaux directement concernés par l'industrie auto en France. C'est l'Acsia qui a concocté le fameux livre blanc, sous l'impulsion de... Pierre Moscovici avant qu'il ne devienne ministre. Ce livre blanc doit servir de base aux réflexions du nouveau gouvernement sur l'automobile.

L'autre solution pour ce sauvetage consisterait en l'octroi d'un prêt sous conditions lui aussi. Il aurait évidemment l'avantage de pouvoir être mis en œuvre plus rapidement. Mais il n'aurait pas le même impact. Même s'il privilégie l'entrée au capital, Philippe Bonnin n'exclut d'ailleurs pas un simple prêt assorti de sérieuses exigences, notamment en matière sociale. De toutes manières, l'Etat aurait alors plus que son mot à dire sur les restructurations en vue. PSA veut notamment fermer son site d'Aulnay en région parisienne. Le groupe a convoqué d'ailleurs un Comité central d'entreprise (CCE) extraordinaire pour le 12 juillet, afin d'informer les représentants syndicaux de « la situation économique du groupe » et des mesures à prendre pour
redresser la barre. Le temps presse, il y a urgence.

Il faut un engagement clair de GM

« Je suis en faveur d'un audit sur le vrai différentiel de coûts entre une voiture fabriquée en France et à l'étranger », précise Philippe Bonnin en se référant au volet social, ajoutant : « il faut aussi une expertise sur l'alliance avec GM. Nous sommes opposés à des transferts de fabrication hors de France dans le cadre de cette alliance, sans qu'il y ait des engagements clairs de GM sur la réciprocité. Ce que nous n'avons pas aujourd'hui ». Philippe Bonnin - qui connaît très bien Denis Martin, l'actuel directeur industriel de PSA en charge du site breton entre 2008 et 2009 - est d'autant plus concerné que le site breton de PSA risque de perdre la production de la remplaçante de la Citroën C5, laquelle pourrait être fabriquée en Allemagne. « Nous devrons être très attentifs. Le gouvernement allemand est très ennuyé aujourd'hui par la décision de GM de produire déjà hors d'Allemagne la future Opel Astra (NDLR: modèle compact qui sera fabriqué en Grande-Bretagne et en Pologne) . On le voit mal accepter d'autres délocalisations en-dehors de l'Allemagne, vers la France par exemple »!

Source : La tribune

par **C-Addict** Ven 6 Juil 2012 - 10:37

L’autorité de la concurrence allemande ouvre une enquête approfondie sur l’alliance GM/PSA

Constructeurs - 06/07/2012

L’autorité de la concurrence allemande a annoncé vouloir examiner plus en détails les potentielles conséquences de l’alliance GM/PSA sur les équipementiers.

L’examen initial d’un mois n’ayant pas permis d’évaluer les répercussions de l’alliance entre General Motors (et notamment sa filiale européenne Opel) et PSA sur les équipementiers, l’autorité de la concurrence allemande a décidé d’ouvrir une enquête approfondie. Cet examen doit permettre aux autorités de déterminer si l’alliance entre les deux constructeurs qui
prévoit notamment une coopération dans le domaine des achats de pièces, présente ou non un risque de position dominante sur le marché européen des pièces de première monte.
"L'enquête se concentrera globalement sur la question du "pouvoir d'achat" - de nombreux fournisseurs de pièces automobiles étant des petites et moyennes entreprises ", précise l’autorité de la concurrence.
Cet examen devrait durer trois mois.

Source : Autoactu

par **C-Addict** Ven 6 Juil 2012 - 15:02

PSA : Peugeot dément un prêt de l'Etat, son titre chute

Publié le 06.07.2012, 11h47 | Mise à jour : 13h31

Morosité européenne et arrêt des activités en Iran ont contribué au fort recul des ventes mondiales de PSA Peugeot Citroën au premier semestre, accentuant encore la pression sur le constructeur automobile qui devrait annoncer de nouvelles mesures d'économies. | Thomas Samson

Le sort s'acharne sur le constructeur automobile français PSA (Peugeot Citroën) dont le titre chutait (-6,51%) vendredi à la Bourse de Paris.
A l'origine de cette dégringolade, l'information selon laquelle le groupe en difficultés financières aurait demandé un prêt à l'Etat. Une information démentie par PSA.

Cette nouvelle fait suite à l'annonce par les syndicats d'un plan supprimant d'ici à deux ans entre 8 000 et 10 000 emplois, soit près de 10% des effectifs en France.

En fin de matinée, la valeur PSA cédait 6,51% et cotait à 7,17 euros, signant la plus forte baisse du CAC 40 lui aussi en baisse. Pour Xavier de Villepion, vendeur d'actions chez Global Equities, «l'avenir du groupe est sombre», soulignant que son alliance avec l'américain GM, annoncée fin février, est arrivée tard compte tenu de la situation du français.

«Le groupe PSA et Philippe Varin n'ont pas demandé de prêt à l'Etat»

«Le groupe PSA et Philippe Varin n'ont pas demandé de prêt à l'Etat», a indiqué un porte-parole du constructeur, réagissant à des déclarations de Philippe Bonnin, coordonnateur du récent Livre blanc sur l'automobile qui affirmait que PSA Peugeot Citroën voulait un prêt de l'Etat.

«Philippe Varin demande un prêt. Si l'Etat engage de l'argent public, il doit inscrire son engagement dans les comptes de l'entreprise», avait déclaré M. Bonnin, maire socialiste de Chartres de Bretagne, à côté de Rennes (Ille-et-Vilaine), où se trouve une usine de PSA.

Recul des ventes mondiales et arrêt des activités en Iran

Les malheurs en Bourse du constructeur français sont également à attribuer à la chute de 13% de ses ventes mondiales au premier semestre, à 1,62 million de véhicules, soit 10,7% de véhicules en moins que l'an dernier. Pour les analystes de la banque américaine Citigroup, ces ventes «sont décevantes comme attendu». «Ce qui nous inquiète le plus à propos de PSA, c'est la situation de sa trésorerie», qui pourrait avoir des conséquences sur la crédibilité du groupe auprès des agences de notation et rendre plus difficile son financement, selon eux.

Morosité européenne et arrêt des activités en Iran ont contribué au fort recul des ventes mondiales de PSA Peugeot Citroën au premier semestre. .«Les marchés les plus porteurs pour les marques Peugeot et Citroën (France, Espagne, Italie) sont en crise», rappelle PSA. Résultat, ses ventes ont chuté de 18% sur le Vieux continent à 980 000 unités.

Malgré sa volonté d'internationalisation, la part de ses ventes hors d'Europe n'a progressé que d'un point sur un an et atteint 39%. PSA a néanmoins continué se développer en Chine (+7% à 209 000); en Russie, 41 000 véhicules (+17%) mais en Amérique latine les ventes ont baissé de 21% à 122 000 véhicules. L'autre coup dur a été l'arrêt de ses activités au premier semestre en Iran, l'un de ses gros marchés. Le renforcement des sanctions contre ce pays «a induit une impossibilité de financer l'activité de vente d'éléments détachés vers cette
destination». Les ventes totales d'éléments détachés ont dégringolé de 31,3%.

La situation économique du groupe passée au crible en juillet

Lors de deux comités d'entreprise extraordinaires prévus les 12 et 25 juillet pour évoquer «la situation économique du groupe et les mesures contribuant à son redressement» devrait en dire plus sur la situation. Les syndicats s'attendent à l'annonce de la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) qui emploie 3 000 CDI et 300 intérimaires, mais aussi une coupe claire d'un millier de salariés à Rennes (Ille-et-Vilaine). Les équipes de recherche et développement ne devraient pas être épargnées.

Le capital de PSA est actuellement contrôlé par la famille Peugeot, l'américain General Motors détenant 7%. Parmi les pistes envisagées, PSA pourrait récupérer la fabrication du monospace Zafira d'Opel, filiale européenne de GM, qui pourrait être produit à Sochaux, selon des sources internes.

En revanche, l'usine de Rennes perdrait la production des berlines C5 et 508 au profit de l'Allemagne, ajoutent ces sources qui précisent que ces choix n'ont pas encore été tranchés.

Source : Le parisien

par **C-vava** Ven 6 Juil 2012 - 15:05

Cette affaire est trop médiatisé et cela devient néfaste pour PSA!

par **Lulu'** Ven 6 Juil 2012 - 15:59

Bah, c'est comme les vilains Renault qui "délocalisent" l'usine d'une marque même pas Française, Dacia, au Maroc pour que les familles Françaises qui ne peuvent pas se payer un véhicule neuf puissent le faire. On en a fait tut un fin pour "pas grand chose".

par c-dolu Ven 6 Juil 2012 - 18:37

Non, c'est réellement préoccupant !
C'est flippant !

par **POLO6** Ven 6 Juil 2012 - 19:03

des Opel sur des chaines de montages en France ! je ne pense pas que
ce soit pour demain.....Le contraire oui , et c est dejà planifié ,la C5III
en sait quelque chose.

par citroNagoya Sam 7 Juil 2012 - 5:55

Le probleme n'est pas la mediatisation, le probleme est le fait que l'Etat s'occupe met son nez dans le business.
D'un cote, une entreprise se doit d'etre rentable pour assurer sa perenite, le marche europeen est mature et les ventes se font dans les pays emergeants, la logique est de produire dans ces pays et de se renforcer sur ces marches.
Il est evident que de produire en Europe ne peut pas etre rentable, il faut donc ferme des usines.
Cela rend les promesses des differents gouvernements peu valides, c'est ainsi que d'un cote on trouve les politiciens et leurs floppees de bureaucrates qui s'engage a sauve des emplois alors que d'un autre cote on trouve des gens tres intelligents et qui savent ce qu'est l'economie (desole pour la froideur, mais essayez de monter une boite qui ne fonctionne qu'avec des subventions de l'etat, ce n'est pas possible d'etre rentable).

C'est la meme chose dans tous les pays, France, USA, Japon, les constructeurs sont comme des drogues en manque a qui l'Etat donne une dose pour les aider a tenir. cela ne regle aucun probleme.
Ce qu'il faut c'est etre rentable et vendre.

Les subventions ne font que prolonger le probleme.

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